Nouveautés du cast au 18 mai 2024

  → → La promo de la saison 2 d'Entretien avec un Vampire se poursuit pour Jacob Anderson. L'acteur fait à présent la couverture du magazine Man About Town, quelques semaines après Fabien Frankel !

→ →[Ses similarités avec Louis] “Ce qui est chouette avec Louis, c'est qu'il est complexe. Il n'est pas une chose ou une autre. Les personnages de ce genre qui révèle des choses, sur vous et sur les gens. Il y a des choses que je croyais sur Louis au début, qui ont totalement changé à présent. C'est un rare privilège d'incarner un personnage de ce genre.”

→ →[Côté musique, bientôt du nouveau ?] “Je travaille le mieux musicalement quand je m'enferme dans une pièce et que je m'y mets. Je vais le faire à un moment donné cette année. Je note aussi des idées sur mon téléphone, j'ai toujours des idées qui vont et viennent dans ma tête. Ce sera un cas où je m'enfermerais dans un studio pendant une semaine.”

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  → → En septembre dernier, la vie de Sophie Turner était violemment mise sens dessus dessous, quand son mari d'alors, Joe Jonas, remplissait une demande de divorce alors qu'elle était en train de tourner son premier gros projet depuis la fin de GOT et la naissance de ses filles, Joan. Une séparation est déjà douloureuse en soit, mais pour ne pas arranger les choses, les tabloïds ont commencé à publier pendant des semaines d'odieux mensonges sur Sophie, la présentant comme une mère démissionnaire, qui préférait travailler et faire la fête, plutôt que de prendre soin de ses enfants. L'actrice revient sur cette période difficile en couverture de l'édition de juin du magazine Vogue UK. /!\ TRIGGER WARNING : mention de troubles alimentaires, de dépression et de pensées suicidaires /!\

→ →“C'étaient les pires jours de ma vie,” se rappelle Sophie. “J'étais en plein tournage, j'étais sous contrat pour encore deux semaines, alors je ne pouvais pas partir. Mes enfants étaient aux Etats-Unis, et je ne pouvais pas les rejoindre, parce que je devais terminer Joan. Et tous ces articles ont commencé à sortir... Ca m'a fait mal, parce que je me torture sur tout ce que je fais en tant que mère. Il fallait que je me répète sans cesse, 'rien de tout cela n'est vrai, tu es une bonne mère, tu n'as jamais été une fêtarde.' [...] J'avais l'impression de regarder un film sur ma vie, que je n'avais ni écrit, ni produit, ni joué dedans. C'était choquant. Je suis encore sous le choc.” Pendant cette période, Sophie a heureusement pu compter sur le soutien de l'équipe technique et de ses co-stars de Joan, qui savaient bien que tout ça était faux, puisqu'ils étaient tout le temps avec elle. “Ils étaient mon groupe de mon soutien, ma famille. Je n'ai aucune idée de ce que j'aurais fait sans eux.”

→ →C'est dans cet état émotionnel que Sophie a tourné les scènes les plus compliquées de sa série. “Je crois que j'ai toujours été attirée par les personnages qui ont vécu tellement de choses, mais qui en ressortent si fortes et résilientes.” En effet, quand on découvre Joan Hannington dans la série éponyme, elle a 19 ans et vient tout juste de s'échapper d'un mariage abusif et envisage de laisser sa fille de deux ans dans un foyer. Plus tard, Joan est à nouveau dévastée par la mort de son second mari et partenaire de crime, Boise Hannington. “Je ne suis pas très douée pour gérer mes émotions. Je les enferme, puis elles explosent des années plus tard, sous forme de dépression ou d'anxiété.” Avec Joan, elle n'a pas pu se cacher : “Grâce à ce rôle, j'ai pu accueillir et gérer toutes ces émotions.” Pendant ce temps, des milliers de femmes sur les réseaux sociaux la défendaient, n'étant que trop familières avec les horreurs que les tabloïds voulaient lui coller sur le dos : “Si quelque chose comme ça m'était arrivé il y a 10 ans, je ne sais pas si j'aurais eu autant de soutien. Je me sens très chanceuse de vivre à une époque où les gens sont ouverts d'esprits. Merci pour la génération Z.”

→ →Même si elle a eu du soutien de toutes parts, il n'empêche que les choses restaient difficiles à vivre, surtout quand son ex l'a empêché de ramener leurs filles en Angleterre, en cachant leurs passeports. “Il y a des jours où je ne savais pas si j'allais m'en sortir. J'appelais mon avocate en disant 'Je ne peux pas, je n'y arriverai pas.' Et après deux semaines, elle m'a rappelé que je me battais pour mes enfants. Si quelqu'un me dit 'fais le pour tes enfants,' je vais le faire. Je ne pourrais pas le faire pour moi, mais je trouverais la force pour elles.” Sophie avait 24 ans lorsqu'elle est devenue mère. Elle l'a appris lors d'une retraite à Bali. “Peut-être parce que j'étais si jeune, j'ai réfléchi pendant une semaine. Heureusement, des psys m'ont aidé à naviguer tout ça. Je l'ai dit à mon mari quand je suis rentrée, je lui ai demandé ce qu'il pensait qu'on devait faire. [...] A ce stade, je ne savais pas si j'avais envie d'être mère, mais quelque chose a changé en moi ce jour-là. Je savais qu'il fallait que je l'ai.”

→ →Sa fille aînée, Willa, est née en juillet 2020, en pleine pandémie, permettant ainsi à Sophie de se lier avec elle pendant dix mois. Deux ans plus tard, est née Delphine : “Mon ex et moi voyageons tout le temps, alors je voulais que Willa ait un frère ou une sœur. Je voulais qu'elles s'aient l'une l'autre.” Sophie parle avec tendresse de ses filles, les décrivant comme “mes rayons de soleil.” La maternité a aussi eu un effet inattendu pour Sophie : en effet, depuis des années elle souffre de troubles alimentaires, et ses grossesses l'ont aidé à mieux accepter son corps. “Après mon accouchement, ma psy m'a demandé comment je me sentais dans mon corps. Et bien sûr, j'étais genre 'Il y a du lait qui sort de mes seins, et ça fait un mois que je saigne.' Alors, elle m'a rappelé comme c'était incroyable que nos corps puissent faire ça, et combien il était important de leur donner les bons nutriments, pour qu'ils puissent faire ça. Ca a l'air si simple, mais je n'avais jamais considéré mon corps ainsi avant.”

→ →Ayant vécu son adolescence et les changements qui l'accompagnent pendant la période Game of Thrones, l'actrice se retrouvait souvent la cible de trolls en ligne commentant sa prise de poids et son acné. Et même après, ça a continué... “Quand vous êtes boulimique, votre visage enfle. Quand j'ai commencé à aller mieux au début de la vingtaine, mon visage est redevenu normal. Et cette fois les gens se demandaient si j'avais fait de la chirurgie esthétique pour lever ma graisse des joues. Vous gagnez jamais.” Maintenant, Sophie parvient à garder cela sous contrôle. De même que ses troubles anxieux et dépressifs : en effet, depuis son retour en Angleterre, elle n'a pas eu besoin de traitement médicamenteux. “Je pensais que j'en aurais eu besoin plus que jamais. Mais il y a quelque chose dans une communauté, et un groupe de soutien, je n'avais jamais réalisé jusqu'à maintenant à quel point j'en avais besoin. Je crois que j'étais sous traitement si longtemps, parce que je n'avais pas ces personnes avec moi. Maintenant que je suis rentrée à la maison, je suis plus heureuse que je ne l'ai été depuis très longtemps. Je recommence à zéro, je redécouvre ce que j'aime faire, avec qui j'aime être.”

→ →Il faut dire que lorsqu'elle vivait aux Etats-Unis, d'abord à Los Angeles, Sophie s'est sentie bien seule. “Vous ne pouvez pas juste rencontrer des gens dans un bar, vous devez rouler pendant 40 minutes si vous voulez voir du monde.” Même si sa belle-famille l'avait bien accueillie, un malaise perdurait. “Il y avait beaucoup d'attention sur les frères et leurs compagnes. On nous appelait 'les épouses', et je détestais ça [...] d'être perçue comme les groupies qui les suivaient.” Ces sentiments d'aliénation n'ont fait qu'empirer quand elle et Jonas ont déménagé à Miami en 2021 : “C'était cette communauté d'hommes de 50 ans, imaginez essayer de vous faire des amis en allant promener les chiens... je me sentais comme un oiseau piégé dans une cage dorée. [...] Je n'avais aucun ami là-bas.” Et en tant que mère, elle a été profondément bouleversée par le problème des armes à feu qui provoque des drames trop réguliers aux Etats-Unis. “Je ne supportais pas d'être la mère d'un de ces enfants, qui sait qu'il y a un problème que votre pays peut régler, mais que les politiques préfèrent donner plus de droits à des armes qu'à des enfants. Et en plus, les femmes aux US perdent leurs droits à droite, à gauche... Tout ça a contribué à ce sentiment 'il faut que je parte d'ici, il faut que je parte d'ici'.”

→ →Depuis son divorce, Sophie a débuté une relation romantique avec Peregrine Pearson, un charmant aristocrate britannique. “J'aime bien sortir avec quelqu'un. Je me suis mariée tellement jeune, alors je n'ai jamais vraiment vécu ça, c'est très nouveau pour moi.” A présent, elle apprends à former des relations plus saines et à mieux communiquer : cela passe aussi par maintenir des relations cordiales avec son ancienne belle-famille, pour le bien de ses deux filles. Elle a également signé plusieurs projets à venir : la minisérie Haven, dont le tournage a débuté à Londres, le film d'horreur The Dreadful, où elle retrouvera Kit Harington et qui devrait être tourné plus tard cette année (si tout se passe comme prévu...), le film de science-fiction Cloud One, et le thriller Trust, qu'elle a tourné entre avril et mai au Mexique. Le hasard fait bien les choses, car il y avait beaucoup de similitudes entre le personnage qu'elle jouait dans ce dernier, et ce qu'elle venait de vivre dans sa vie personnelle : elle y incarne une actrice américaine, en plein scandale après que des photos d'elle nue aient été publiées en ligne. Enceinte et terrifiée, elle décide d'échapper à la folie des médias en se retirant dans un AirBnB isolé, pour se retrouver piégée dans une sorte de chambre panique. Et en fin de compte, c'est son bébé qui l'aide à s'en sortir. “Quand j'ai reçu le scénario, je n'arrivais pas à y croire, qu'il arrive à ce moment. Il fallait que je le fasse. Mais peut-être que la prochaine fois je pourrais choisir une comédie romantique, et provoquer les choses pour que ça arrive...” 

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  → → Avec la promo de HOTD 2 qui est bien lancée, Emma D'Arcy a récemment réalisé un photoshoot et interview pour le magazine Evening Standard.

→ →[Sur sa nouvelle pièce] “J'ai lu Bluet il y a des années, alors ça a été une adorable invitation de pouvoir le revisiter. [Même si il y a un risque, car] j'ai dans l'idée qu'il ne faut jamais rencontrer ses héros, alors ça va complétement à l'encontre de mes règles.”

→ →[La célébrité qui vient avec la série] “J'ai beaucoup de chance, car j'ai l'air très différent.e dans la série. La perruque blonde est une armure qui me protège. Je mène une vie très normale et ordinaire, et ça me convient.”

→ →[Sa nomination aux Golden Globes pour la saison 1] “Je n'étais pas au courant, puis Matt [Smith] m'a envoyé un message pour me féliciter. C'était une très belle façon de le découvrir. Il est la personne parfaite pour donner ce genre de nouvelles. C'est une personne que j'aime, c'est un ami très cher, alors c'est dur de le voir comme quelqu'un de célèbre. Il a une éthique professionnelle admirable, et il ne se repose jamais sur ses lauriers. Il cherche toujours de la nouveauté, de la spontanéité, du vivant.”

→ →[Le fait d'être un modèle pour les aspirants acteurs/actrices LGBTQ] “Je me sens dans une posture privilégiée, parce que je suppose que je ne savais quand j'étais plus jeune que j'aurais fait mon coming out et que j'aurais de la visibilité. Ce sentiment seul... je me sens très chanceux.se d'être dans cette position. J'ai une relation compliquée avec l'idée d'un profil public, mais sûrement la valeur est de créer plus d'espace pour que les gens vivent, et faire ce boulot est très excitant. Alors ça me plait de faire ça. [Une amélioration dans l'industrie] pourrait prendre du temps, et parfois il y a des retours en arrière, mais en général c'est un voyage progressif. Les personnes trans et de genre non-conforme n'iront nulle part.”

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  → → Au milieu de ces nombreux nouveaux photoshoots, d'autres sorties ont lieu. Le 14 mai, Hannah Waddingham était à la présentation de Amazon lors de l'événement Upfront, pour sa prochaine série (toujours sans titre) pour la chaîne. Le 15 mai, Emily Carey assistait à une projection privée de sa prochaine série Geek Girl. Le 16 mai, Hannah était honorée lors des Women + Film.

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  → → Retour à Cannes pour Nathalie Emmanuel ! Après sa venue en 2018, l'actrice est cette fois au casting d'un des films en compétition, et pas n'importe lequel : Megalopolis, le projet passion de Francis Ford Coppola, qu'il a commencé à écrire il y a 40 ans, qu'il a commencé à essayer de financer il y a 20 ans, dont le tournage a été très chaotique avec un changement d'équipe technique en plein milieu... Avant son départ pour le sud de la France, l'actrice s'était entretenue avec Vogue, disant de ce film qu'il “essaye vraiment de faire tomber des barrières.” L'avant-première mondiale a eu lieu le 16 mai, et c'est vêtue de Chanel que Nathalie a monté les marches en compagnie de ses co-stars. Le lendemain, c'était le photocall, la conférence de presse et plusieurs interviews, pour Deadline notamment ; Nathalie a dit que film était “une expérience unique dans une vie. C'était très spécial, une expérience très unique, qui ne ressemblait à rien de ce que j'avais fait avant. Et qu'on m'ait fait confiance pour jouer un personnage d'un film qui était en préparation depuis 40 ans, est une énorme responsabilité, et c'est très spécial. Ce que je garderais avec moi, c'est le niveau de dévouement de tout le monde, le sens de service à la vision de Francis. Juste cet engagement, tout le monde qui se jetait dedans.”

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  → → Pour compléter cette promotion cannoise, Nathalie Emmanuel a réalisé un superbe photoshoot accompagné d'un interview pour le magazine Natural Diamonds.

→ →[Ses nombreux films/séries d'action] “J'adore l'action. J'ai commencé par la danse, du classique à deux ans, puis de la danse contemporaine, du tap, de la street dance... Préparer ses cascades, c'est un genre de danse. Vous vous entrainez pour des séquences de combat avec la personne avec qui vous allez tourner. Vous vous connecter quand vous vous entraînez. C'est aussi un jeu mental, vous sentez quand vous pouvez aller plus vite ou plus fort. Quand le moment de tourner arrive, c'est tellement chouette. Avec [The Killer, qu'elle vient de terminer de tourner], il y avait plus que juste le côté physique. John [Woo] tourne ces films d'action très dynamiques, mais c'est aussi un romantique, même dans ses scènes de combat.”

→ →[Sa décision de devenir vegan] “Je vivais à LA depuis 10 ans, et une amie étudiait la nutrition holistique. Elle m'expliquait le lien entre ce qu'on mange et certaines maladies, en particulier les cancers des femmes. Quand je lui ai demandé quels étaient les bénéfices de devenir vegan, elle m'a dit 'Tu te sentiras peut-être plus énergétique, tu dormiras mieux, tu auras l'esprit plus clair.' Alors, j'ai décidé d'essayer pendant une semaine. C'est facile de manger vegan à LA. Les gens ont commencé à commenter mon apparence. On me disait, 'Tu es radieuse, qu'est-ce que tu fais ?' Et je répondais, 'C'est vrai ?' J'ai remarqué que ma digestion était meilleure. Je me réveillais avec plus d'énergie, l'esprit clair. Alors j'ai décidé de continuer. J'ai commencé à cuisiner pour moi, et au début c'était un désastre. Ma famille est originaire des Caraïbes, et je voulais faire des plats végétariens liés aux plats de ma culture.”

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  → → Les remises de prix et festivals se poursuivent. Le 17 mai, Gayle Rankin se rendait aux Drama League Awards. Très joli son ensemble rose, enfin autre chose que du noir ! Le même jour, Nathalie Emmanuel, toujours à Cannes, se rendait à l'avant-première de Oh, Canada, vêtue une nouvelle fois de Chanel. Le lendemain, elle s'est rendue au festival international de la Mer Rouge pour leur événement Women in Cinema.

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