→→Travaillant sur Game of Thrones depuis la saison 5, le coordinateur de cascades Rowley Irlam décrit son boulot d'une manière assez succincte : “J'ai toujours envie que le public s'assoit devant son écran et que, en voyant quelque chose, se dise, 'Oh putain,'” partage-t-il en riant avec EW. “J'essaye toujours d'arriver à ce moment 'Oh putain'.”
→→Irlam et son équipe ont chorégraphié et exécuté chacune des scènes d'action majeures de la série, de grisants combats à l'épée (comme la session d'escrime d'Arya et Brienne dans la saison 7) en passant par de monumentales séquences de guerre (comme la Bataille des Bâtards dans la saison 6). Dans une série comprenant autant de scènes de combat, le défit pour Irlam est de faire paraître chacune d'elle unique, que cela veuille dire jeter Jorah Mormont (Iain Glen) dans les arènes de Meereen contre de multiples adversaires aux nombreux talents ou chorégraphier l'attaque à deux épées de Ser Arthur Dayne (Luke Roberts) dans le flash-back de la Tour de la Joie.
→→Irlam et son équipe ont chorégraphié et exécuté chacune des scènes d'action majeures de la série, de grisants combats à l'épée (comme la session d'escrime d'Arya et Brienne dans la saison 7) en passant par de monumentales séquences de guerre (comme la Bataille des Bâtards dans la saison 6). Dans une série comprenant autant de scènes de combat, le défit pour Irlam est de faire paraître chacune d'elle unique, que cela veuille dire jeter Jorah Mormont (Iain Glen) dans les arènes de Meereen contre de multiples adversaires aux nombreux talents ou chorégraphier l'attaque à deux épées de Ser Arthur Dayne (Luke Roberts) dans le flash-back de la Tour de la Joie.
→→Irlam a une équipe de cascadeurs experts, mais il travaille également avec les acteurs pour leurs techniques de combat.
→→“Ils ont recruté de très talentueux acteurs qui peuvent vraiment faire leurs scènes de combat,” dit-il. Même si les joueurs font parfois preuve d'un peu trop d'enthousiasme. “De temps en temps, il faut leur dire de se retenir un peu,” explique-t-il. Par exemple, “Kristofer [Hivju, qui joue Tormund] est très à fond, mais d'une façon positive. Il dira, 'Hey, Rowley, j'ai eu une idée géniale. Je pourrais sauter sur ce gars et le frapper à la tête !' Et il faut dire, 'Non, non, Kristofer, on ne peut pas faire ça.'” Pour ce qui est de Jorah, “Iain Glen est un acteur très sérieux, et il est très physique,” raconte Irlam, ajoutant que les figurants qui travaillent avec Glen parlent de leurs bleus et de leurs coupures comme de “badges d'honneur Jorah.”
→→“Ils ont recruté de très talentueux acteurs qui peuvent vraiment faire leurs scènes de combat,” dit-il. Même si les joueurs font parfois preuve d'un peu trop d'enthousiasme. “De temps en temps, il faut leur dire de se retenir un peu,” explique-t-il. Par exemple, “Kristofer [Hivju, qui joue Tormund] est très à fond, mais d'une façon positive. Il dira, 'Hey, Rowley, j'ai eu une idée géniale. Je pourrais sauter sur ce gars et le frapper à la tête !' Et il faut dire, 'Non, non, Kristofer, on ne peut pas faire ça.'” Pour ce qui est de Jorah, “Iain Glen est un acteur très sérieux, et il est très physique,” raconte Irlam, ajoutant que les figurants qui travaillent avec Glen parlent de leurs bleus et de leurs coupures comme de “badges d'honneur Jorah.”
→→Malgré toutes les bagarres, Irlam doit s'assurer que tout soit planifié de façon très méticuleuse pour éviter toute blessure grave. “Il faut que ça ait l'air d'une émeute hors de contrôle, mais il faut faire en sorte que personne ne se casse de dents ou ne se foule une cheville,” dit-il. “On essaye que ça ait l'air très dangereux, mais aussi de le garder aussi sauf que possible.”
→→L'une des façons qu'a Irlam de faire ça est de se servir d'un mot d'alarme qu'on entend rarement à Westeros. “Quand on fait ces batailles, que les gens hurlent, pleurent et meurent, ce n'est pas toujours évident de savoir si ça va vraiment mal pour quelqu'un,” explique-t-il. “Donc, notre mot de sécurité a toujours été 'banane.' Si quelqu'un se mettait à crier 'banane !' à pleins poumons, vous pouviez être sûr qu'ils avaient des problèmes.”
→→Source
→→L'une des façons qu'a Irlam de faire ça est de se servir d'un mot d'alarme qu'on entend rarement à Westeros. “Quand on fait ces batailles, que les gens hurlent, pleurent et meurent, ce n'est pas toujours évident de savoir si ça va vraiment mal pour quelqu'un,” explique-t-il. “Donc, notre mot de sécurité a toujours été 'banane.' Si quelqu'un se mettait à crier 'banane !' à pleins poumons, vous pouviez être sûr qu'ils avaient des problèmes.”
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