Nouveautés du cast au 21 août 2024

    → → HBO a vite pallié à l'absence de HOTD suite à la diffusion du final de la saison 2, avec la saison 3 de Industry qui récupère son créneau du dimanche soir. Et ça reste à peu près lier au GOT Verse, car Kit Harington est un des nouveaux personnages récurrents de cette nouvelle saison. Prenant une pause de ses représentations de Slave Play à Londres, l'acteur était à New York le 5 août pour un peu de promotion. Dans la journée il est passé sur le plateau de CBS Morning, et il a aussi participé à un panel avec le cast de la série. Et le soir, c'était l'avant-première, avec tapis rouge ! En interview, Kit a parlé de ses enfants, révélant que sa fille d'un an avait tout récemment fait ses premiers pas. On lui a aussi demandé si il pensait qu'ils regarderait GOT quand ils seraient plus grands, Kit ne pense pas, car personne ne veut voir ses parents se pécho... On lui a bien sûr aussi posé des questions sur HOTD, il a dit qu'il n'arrivait pas à regarder la série, parce qu'il a passé trop de temps dans cet univers.

→ →Il y a aussi eu des interviews 'papiers' qui sont sortis, pour compléter, vu qu'il a dû retourner fissa en Europe dès le lendemain. Il y a d'abord eu pour Collider, où il évoque notamment son rôle dans le film The Beast Within, qui vient de sortir en VOD pour les anglophones. “J'ai lu le script, et la métaphore était très claire pour moi. Le film ne s'en cache pas, c'est très explicite. En fait, c'était ma principale question : comment équilibrer cela, pour que ce ne soit pas non plus trop 'dans tes dents' ? Alors je l'ai lu à froid, et j'aimais vraiment l'idée de retourner le genre du loup-garou, par les yeux d'une petite fille, qui vit cette période étrange, de début de puberté : il y a des trucs en quoi elle croit, et elle découvre que ce n'est pas vrai, alors qu'elle devient une jeune femme. Ca m'intriguait, l'idée que les parents ne soient pas les tuteurs qu'on pense qu'ils sont, et que tout n'est pas ce qu'il paraît être. Ce sont les meilleurs genres de films d'horreur.” Il a aussi donné des updates sur The Dreadful, un autre film d'horreur dans lequel il a été casté au début d'année avec Sophie Turner : “J'espère qu'on pourra le faire plus tard cette année. C'est un film sombre, gothique et étrange par une réalisatrice qui s'appelle Natasha Kermani. J'espère qu'on pourra le faire cette année. Les films indépendants sont compliqués, tu y touches ça disparaît, et ça a déjà été retardé un peu. Mais il est très spécial, alors j'espère qu'on pourra le faire. Sophie me l'a envoyé, elle m'a dit 'ça t'intéresserait ? Je pense que tu collerais bien pour le rôle.' Et je l'ai lu très vite, ce qui est toujours un bon signe. Je trouve toujours, que si vous essayez d'arriver à la fin très vite parce que vous voulez envoyez l'email qui dit 'oui,' que c'est un bon signe.”

→ →Pour le magazine ELLE, il a aussi évoqué sa pièce Slave Play, et la nervosité qu'il a éprouvé lors du premier jour des répétitions, notamment à cause des thèmes difficiles dont elle traite : “Avec cette pièce, vous ne descendez jamais de la scène avec un sentiment d'élation, comme avec la plupart des pièces. Avec celle là, vous avez l'impression de devoir vous débarasser de quelque chose. On vérifie si tout le monde va bien avant et après les représentations, parce que les choses qu'on dit sur scène, on ne les dirait jamais ailleurs.” Il a aussi évoqué son personnage de Henry Muck... et de certains fétichisme de ce dernier : “Je crois que c'est sous-entendu dans les deux premiers scripts, et je n'avais reçu que ça quand je négociais pour rejoidnre la série, et ça ressort un peu plus tard. J'a itrouév que c'était génial, les gens ont des fétichismes ! La pièce que je fais en ce moment en parle, et dans les arts dramatiques, je pense qu'on devrait pouvoir le faire. Et qui suis-je pour dire non ou refuser de montrer cela chez un personnage ? [...] Parfois, l'arrogance est interprétée d'une façon telle, que la personne sait qu'iel l'est. Il le sait à la surface, mais au fond, il ne croit pas vraiment qu'il est arrogant. Alors il utilise du langage de thérapie avec les femmes autour de lui pour les manipuler. Il démarre cette entreprise, qui finit par abuser des gens et leur voler leur argent. C'est une représentation itnéressante d'un homme moderne arrogant.”

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    → → Avec la fin de la saison, Harry Collett faisait la couverture du magazine Grumpy. Il est interviewé par son amie et co-star Bethany Antonia !

→ →[Le succès de la série] “Je ne m'attendais pas à être autant reconnu à présent. C'est flatteur, parce que sans [les fans] je n'aurais pas de boulot.”

→ →[Sa relation avec Bethany et leurs scènes en commun] “Si on se détestait, ça n'aurait pas été bon pour l'alchimie.”

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    → → Une semaine après la fin de la saison, Phia Saban était photographiée et interviewée pour le magazine Content Mode.

→ →[En dehors de la fantasy, quels autres genres voudrait-elle explorer ?] “Ca me manque tellement de faire du théâtre. J'ai hâte d'en refaire. Je n'ai jamais joué dans un film, j'adorerais en faire un indépendant. Oh ! D'être dans un truc que les gens appellent un film ! Récemment j'imaginais apprendre la capture de mouvement et jouer un animal ou une créature. J'aimerais faire partie d'un film de passage à l'âge adulte, comme ceux avec lesquels j'étais obsédée en grandissant. J'aimerais faire une minisérie, genre une série criminelle intense. Je pourrais échapper de justement à un requin ou un alien. Je rêve de faire du doublage pour un dessin animé ! Et peut-être un truc dystipoque. Un western ? Je veux faire quelque chose de drôle. D'étrange. Il  ya tant de cinéastes que j'admire (je ne les mentionnerais pas mais je les note avec affection dans mon cahier, j'apprendrais le français et le norvégien pour eux). J'ai hâte de rencontrer de nouvelles personnes, il y a tant de choses que j'aimerais faire. Mais je n'y pense pas vraiment...”

→ →[Est-ce que elle a pu s'inspirer de la vraie vie pour approcher Helaena ?] “Parfois, un personnage peut être une extension de votre vie, une nouvelle façon de voir les choses. Mais peut-être c'est plus que la fantaisy inspire ta vie ! Ca a été fun d'explorer les intérêt d'Helaena. J'ai beaucoup pensé aux insectes. C'est marrant de chercher comment fonctionne son esprit, et de trouver comment le sien et le mien se ressemblent. Je regarde beaucoup les gens, ce qui est génial parce que maintenant quand je le fais je peux me dire que je travaille.”

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    → → Pour compléter la promo d'Industry, il manquait tout juste un vrai photoshoot de Kit Harington, comme en plus ça fait un moment qu'il n'en a pas fait comme il fait surtout des projets indépendants à présent. C'est donc GQ qu'on peut remercier pour cela ! Franchement l'ère DILF de Kit, j'adore.

→ →[Ses inspirations pour jouer Henry] “J'ai rencontré un million de gars comme lui. Et je tiens à préciser que je pense que beaucoup de gars qui sont discrets et qui sont allés dans des écoles publiques ont mauvaise réputation. Il y a beaucoup, beaucoup de types très sympas qui ont reçu une éducation privée. Mais j'ai rencontré ceux qui sont arrogants d'une façon bien spécifiques, ce qui n'est pas évident. Pas le genre pervers, plus dans le genre, ils ont l'air ouvert d'esprit, mais ils voient les choses de façon très étriquée. [...] L'une des premières choses que j'ai dit à Micket & Kon [les showrunners], c'était, 'les gars, vous faites une série sexy, je sais que vous allez vouloir que je me rase, mais je n'ai pas l'air sexy sans barbe, j'ai l'air d'un enfant fatigué, personne ne croiera que Marisa irait être séduite par moi.' Heureusement, ils étaient d'accord.”

→ →[Sur la nudité et la sexualisation des acteurs] “Je fais de la gym pour être bien dans ma tête dans tous les cas, mais quand j'ai su que j'aurais les fesses à l'air, je me suis dit 'ok, cette semaine t'es aux squats.' [...] J'ai bien conscience que ce que je vais dire, c'est dans le contexte de moi qui a le cul nu dans Industry. Mais bon, je pense juste que c'est idiot. Chaque fois qu'on voit un jeune acteur décrit comme un tombeur, ça les réduit à leur apparence. On ne devrait pas le faire aux femmes, et on ne devrait pas le faire aux hommes. C'est juste ce que je ressens à ce sujet.”

→ →[La fin de GOT & le spin-off Snow] “S'il y avait des défauts, c'est qu'on était tous putain de fatigués, on aurait pas pu continuer encore très longtemps. Alors je comprends les gens qui disent que c'était précipité, et je pourrais être d'accord avec eux. Mais je ne suis pas sûr de si il y avait une alternative. Je vois des photos de moi dans cette saison, j'ai l'air épuisé. Je n'avais pas la force en moi de faire une autre saison. Tout le monde a le droit à son opinion ; je pense qu'il y avait des erreurs de faites narrativement, vers la fin, qu'il y avait des choix intéressants qui en fonctionnaient pas vraiment [c'est ok Kit, tu peux dire que Jonerys était le pire ship du monde et que ça a contribué à détruire la qualité de cette dernière saison]. Ce que je peux dire, c'est que HBO est venu vers moi, et m'a demandé si je serais intéressé. Ma première réaction a été de dire non ; et ensuite, je me suis dit qu'il pourrait y avoir une histoire sur le soldat après la guerre, qu'il restait quelque chose à dire. Pendant environ deux ans on l'a développé, mais rien ne nous enthousiasmait vraiment. Au final, j'ai reculé et j'ai dit 'si on continue à forcer, on va avoir quelque chose de mauvais, et on ne veut pas ça.' [...] Ce rôle sera toujours une grosse part de moi : grâce à ça, j'ai rencontré ma femme, j'ai eu mes enfants, je me suis fait des amis pour la vie, on me reconnait dans la rue.”

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    → → La diffusion de la saison 2 d'Entretien avec un Vampire est terminée depuis quelques semaines, c'est à présent pour parler de sa musique qu'on retrouve Jacob Anderson ! Et c'est le magazine Time Out London qui fait cela. Pour l'occasion, on apprends qu'il a eu une deuxième fille, quel petit cachotier ! 

→ →[Les lentilles de contact et les crocs pour IWTV] “On y voit rien. C'est tout brumeux, et flou. Mais j'adore mes lentilles et mes crocs. Les yeux, ça donne l'air bizarre. On m'a dit qu'ils sont intimidants. J'ai des crocs de secours chez moi, pour pratiquer l'accent, parce que les crocs affectent la façon dont votre bouche bouge. Ma fille aînée trouve ça drôle, elle adore mes lentilles, elle dit 'papa a des yeux bizarres'.”

→ →[Faire partie d'histoires LGBTQ+] “Ca ne prends pas de gants avec le côté queer, et c'est magnifique. Je vois tellement d'histoires qui tournent autour du pot, parce qu'ils ne veulent offenser personne. Mon personnage est un homme noir créole, il est queer, il est atroce, mais ces choses ne sont pas liées l'une à l'autre. Pour moi, c'est mon rêve de représentation : notre comportement n'est pas complétemet lié à notre identité.”

→ →[Est-ce que les gens veulent toujours lui parler de GOT après 5 ans ?] “On ne m'en parle que dans les interviews pour être honnête. Mais c'était quelque chose de spécial et d'unique dont j'ai fait partie, et j'adore Grey Worm. Il représentait quelque chose de très puissant : il était un soldat, mais il était aussi plein de tendresse, d'amour, de l'oyauté et de fragilité. J'en étais très fier. C'est la première chose que les gens veulent me dire : 'la dernirèe saison était mauvaise, hein ?' Ca ne m'ennuie pas, c'est juste bizarre de dire ça à quelqu'un qui a travaillé dessus. Les réactions étaient un peu beaucoup, mais ok ! C'était important pour les gens, et c'est cool de faire partie de quelque chose d'aussi important pour les gens, peu importe si ils l'adorent ou le détestent. Je savais que les gens auraient eu des sentiments complexes.”

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    → → Les actus ont pas mal ralenti... Il y a des photos de Harry Collett et Tom Taylor à un événement par The Gentleman's Journal, pas sûre de la date, si c'est début juillet ou début août. Le 14 août, Nathalie Emmanuel était à l'avant-première son film The Killer à Los Angeles. Enfin, le 15 août Jacob Anderson était à l'avant-première de son film Timestalker pendant le festival Locarno.

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→ → Après avoir pris part à un événement avec le même magazine il y a quelques semaines, Nathalie Emmanuel fait aussi la couverture du numéro de septembre de Marie Claire Grèce. Session assez simple, mais avec de très jolies tenues, pour promouvoir Megalopolis et The Killer.

→ →[L'évolution de la représentation des personnages féminins dans les filsm d'action] “Évidemment, j'adore les films d'action, ils sont amusants, ce sont des aventures, les personnages principaux vous entraînent dans leur monde, vous les voyez vaincre les méchants, il y a quelque chose d'optimiste, d'espoir dans leurs histoires. Pour moi, jouer une telle héroïne, et une héroïne noire dans ce contexte, était très important. Ainsi, lorsqu'on m'a proposé un rôle comme celui-là dans la série de films Fast and Furious, l'une des raisons pour lesquelles je l'ai accepté avec une grande joie était que je voulais montrer que les femmes peuvent être des héroïnes, des puissances. Lors du récent Festival de Cannes, j'étais à un dîner avec ma co-star dans ces films, Michelle Rodriguez, et nous avons discuté avec Uma Thurman, l'une des plus grandes stars du cinéma d'action de tous les temps. Et je pensais à quel point il était important pour moi d'être avec ces femmes géniales, ces grands artistes, et combien c'était mon tour avec "The Killer" d'entrer dans cette galerie d'héroïnes. Je me sentais à la fois fière, inspirée et reconnaissante pour tout le travail accompli dans ce domaine, le cinéma d'action, par toutes les femmes qui les ont précédées. J'ai eu l'impression d'être hors de mon corps pendant un moment et je nous regardais parler en pensant à toutes ces femmes qui nous ont aidés à arriver jusqu'ici. Un tel rôle demande une préparation très dure, il nécessite une bonne condition physique. Je suis un acteur physique, j'aime beaucoup m'entraîner et j'étais prêt à affronter ce que je devais affronter. Parce que lorsque vous assumez un rôle comme celui-là, vous ne vous contentez pas de vous présenter sur le plateau et d'apprendre quelques trucs. Des semaines, des mois de préparation et d'entraînement s'annoncent, des tournages exigeants. .. C'est un énorme défi pour une actrice et je l'ai accepté avec beaucoup de joie. Finalement, je me sens victorieuse.”

→ →[Les réalisatrices avec qui elle aimerait travailler] “Par où commencer... J'ai vu Greta Gerwig l'autre jour et j'ai pensé que je ferais tout ce qu'elle suggérerait. Je suis prêt, Greta, appelle-moi. (rires) J'adorerais travailler avec Eva DiVernay (Selma, Origins), qui a une voix tellement excitante et dynamique. J'aimerais travailler avec Nia Da Costa. Ils sont tous cool et excitants. La liste des réalisateurs avec lesquels je souhaite travailler est vraiment longue.”

→ →[Sa vie avec son chat] “Le nom de notre chat est Agatha Dee, mais elle a un tas de surnoms, comme Madame Le Fluff (Madame Fluff), parce qu'elle laisse des peluches partout, et Mme Miyagi. Il n’y a pas de fin à ses noms d’animaux. Chaque chat est différent. Je pense que j'ai beaucoup de chance que la mienne soit si tendre et très douce - quand elle le veut, bien sûr. À cet égard, nous sommes très similaires. Nous sommes très tendres, mais selon nos propres conditions. Si nous ne sommes pas prêts à nous faire des câlins, ils n’auront pas lieu. Elle vous fait savoir à sa manière quand elle veut et quand elle ne veut pas faire quelque chose, une caractéristique que je reconnais aussi en moi-même. J'ai lu quelque part que si vous avez un chat depuis l'enfance, en grandissant, il commence à vous ressembler par son caractère et ses habitudes, à copier votre comportement. Je n’ai aucune difficulté à le croire.”

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→ → Pour sa toute première couverture pour le magazine Vogue, c'est avec l'édition de Tchécoslovaquie que Gwendoline Christie reçoit cet honneur. On a un photoshoot très original pour l'occasion, la reine du style est de retour !

→ →[Sur l'art] “L'idée d'habiter plusieurs réalités simultanées, c'est l'ultime expression artistique pour moi.”

→ →[Le photographe Szilveszter Mako sur Gwen] “Ma premirèe impression d'elle est qu'elle avait une couleur des yeux unique, que je n'avais jamais vu avant, très bleus, très mystérieux et expressifs. [Et sa dernirèe impression après le shoot] terre à terre, une personnalités impliquées dans le concept, une vraie profesionnelle, qui avait hâte de voir les résultats, sans se limiter.”

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