→ → La semaine Milly Alcock... après plusieurs couvertures de magazine ces derniers temps, la jeune actrice est prête à conquérir les tapis rouges, comme elle l'a démontré en enchaînant les événements pendant la Fashion Week de Londres. Le 21 septembre, elle assistait à une présentation privée de Hallyu! The Korean Wave ; et le 26 septembre, à celle de Burberry, suivie de l'after-party.
△ ▼ △
→ → Avec le saut dans le temps de mi-saison, arrive de nouveaux acteurs... dont Emma D'Arcy, le personnage principal ! Sa première scène était quelque chose : nous découvrions Rhaenyra couverte de sueur et de sang, alors qu'elle donnait naissance à son troisième enfant, avant de, toujours affaiblie par son accouchement, porter elle même le nouveau né devant sa belle-mère. Pour fêter ça, le magazine I.D a photographié et interviewé l'interprète...
→ →[Ses débuts sur les tapis rouges pour la promotion de la série] “Je dirais que vous donnez une part de vous même, non ? Je débute encore dans cette compréhension de ce que cela veut dire d'appartenir au domaine public, mais je suis plus à l'aise avec ça, étant une partie de moi même, deux pas sur la gauche. Et je dérive vraiment de l'énergie du pouvoir transformatif du maquillage : c'est littéralement un masque.”
→ →[Sa lecture du roman de Maggie Nelson, The Argonauts, pour se préparer à jouer Rhaenyra] “Je pense que ça devrait être un texte. Je l'ai relu pour le voyage de Rhaenyra en tant que mère, parce que Maggie Nelson écrit ce que cela veut dire d'être quelqu'un qui est, d'une certaine façon, en contradiction avec les normes hétérosexuelles, mais qui en même temps embarque dans ce voyage qui est lié à la patriarchie hétéronormée ; ça me semblait approprié.”
→ →[Ses débuts sur les tapis rouges pour la promotion de la série] “Je dirais que vous donnez une part de vous même, non ? Je débute encore dans cette compréhension de ce que cela veut dire d'appartenir au domaine public, mais je suis plus à l'aise avec ça, étant une partie de moi même, deux pas sur la gauche. Et je dérive vraiment de l'énergie du pouvoir transformatif du maquillage : c'est littéralement un masque.”
→ →[Sa lecture du roman de Maggie Nelson, The Argonauts, pour se préparer à jouer Rhaenyra] “Je pense que ça devrait être un texte. Je l'ai relu pour le voyage de Rhaenyra en tant que mère, parce que Maggie Nelson écrit ce que cela veut dire d'être quelqu'un qui est, d'une certaine façon, en contradiction avec les normes hétérosexuelles, mais qui en même temps embarque dans ce voyage qui est lié à la patriarchie hétéronormée ; ça me semblait approprié.”
△ ▼ △
→ → Maisie Williams se confie sur son passé de victime de secte lors du dernier épisode du podcast Diary of a CEO. Très émue, la jeune actrice n'a pas souhaité plonger trop dans les détails, car “ça affecte mes frères et sœurs et toute ma famille” ; Maisie se souvient avoir appris que sa mère avait “échappé” à son père alors qu'elle n'était âgée que de quatre mois. “Avant l'âge de 8 ans, j'avais une relation très traumatisante avec mon père,” raconte-t-elle. C'est vers cet âge qu'elle a commencé à comprendre à quel point la relation était mauvaise. “Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours eu du mal à dormir, et je crois que beaucoup des choses qui se produisaient, je ne comprenais pas que c'était pas bien,” se rappelle Maisie. “Mais je me souviens que je voyais les autres enfants et que je me demandais, 'pourquoi ils ne comprennent pas cette douleur/peur/frayeur ? Quand est-ce que cette joie viendra pour moi ?'” Maisie se souvient un tournant décisif : une institutrice l'emmenant à part et lui posant “les bonnes questions,” sur ce qui n'allait pas, si elle avait mangé ou avait faim. Elle a demandé à Maisie pourquoi elle n'avait pas pris de petit déjeuner, et Maisie se souvient avoir répondu : “On ne nous donne pas de petit déjeuner.
→ → Alors que la vérité sur son père était dévoilée, Maisie était réfractaire à l'accepter, et pensait que sa mère essayait de la “voler à mon père.” Elle avait été “endoctrinée” par son père. “J'étais dans une secte contre ma mère. Alors au début j'ai vraiment lutté, mais tout mon univers s'est retourné. Et toutes ces choses que je ressentais, 'oh bon sang, je suis contente de ne plus devoir voir mon père,' c'était toujours contre tout ce en quoi j'avais toujours cru.” Maisie n'est plus du tout en contact avec son père ; son processus de guérison a été très long, elle a notamment souffert de problèmes d'addictions à un moment, mais enfin, elle a compris qu'elle n'était en rien responsable de ce qui lui était arrivé. “Ce n'était pas de ma faute si ces mauvaises choses me sont arrivées quand j'étais petite. J'avais l'impression qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas chez moi, chez nous, parce qu'on n'arrêtait pas de faire des erreurs, et c'est pour ça qu'on était maltraités.” Maintenant, elle se trouve intéressée par l'idée de comprendre ce qui pousserait un père à maltraiter ses propres enfants ; elle explique que ses sentiments envers son père sont réduits à l'idée qu'il “ferait un sujet de documentaire fascinant.”
→ → Alors que la vérité sur son père était dévoilée, Maisie était réfractaire à l'accepter, et pensait que sa mère essayait de la “voler à mon père.” Elle avait été “endoctrinée” par son père. “J'étais dans une secte contre ma mère. Alors au début j'ai vraiment lutté, mais tout mon univers s'est retourné. Et toutes ces choses que je ressentais, 'oh bon sang, je suis contente de ne plus devoir voir mon père,' c'était toujours contre tout ce en quoi j'avais toujours cru.” Maisie n'est plus du tout en contact avec son père ; son processus de guérison a été très long, elle a notamment souffert de problèmes d'addictions à un moment, mais enfin, elle a compris qu'elle n'était en rien responsable de ce qui lui était arrivé. “Ce n'était pas de ma faute si ces mauvaises choses me sont arrivées quand j'étais petite. J'avais l'impression qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas chez moi, chez nous, parce qu'on n'arrêtait pas de faire des erreurs, et c'est pour ça qu'on était maltraités.” Maintenant, elle se trouve intéressée par l'idée de comprendre ce qui pousserait un père à maltraiter ses propres enfants ; elle explique que ses sentiments envers son père sont réduits à l'idée qu'il “ferait un sujet de documentaire fascinant.”
△ ▼ △
→ → Encore beaucoup d'événements et de promotions ont eu lieu en ce début d'automne ! Le 25 septembre, Freddie Fox se rendait à l'avant-première de son film Une Robe Pour Mrs Harris où il a un petit rôle. Le 27 septembre, Gwendoline Christie se rendait à une soirée par le magazine Haute Living pour célébrer le lancement du parfum Live Wire. Le 27 septembre, Jacob Anderson était au photocall de sa nouvelle série Entretien avec un Vampire, et le lendemain à un panel organisé par AMC.
▼ △ ▼
→ → Entre l'Europe et les US, les sorties s'enchaînent bien. Le 28 septembre, Gwendoline Christie était présente pour le gala d'automne du New York City Ballet. Le même jour, à Londres, Carice Van Houten assistait à la soirée de lancement Lionsgate+ où sera diffusée sa nouvelle série Dangerous Liaisons, tandis que nous retrouvions Gemma Whelan à la soirée de presse de Upstart Crow, qui débute une nouvelle tournée nationale.
▼ △ ▼
→ → Déjà une semaine qu'Alicent n'est plus incarnée par Emily Carey, mais on ne l'oublie pas pour autant... la jeune actrice a été photographiée tout récemment pour le magazine Interview, avec un nouvel interview.
→ →[Les scènes en face à face, avec en plus de longs monologues à jouer] “Dans ce monde, quand ils ont quelque chose à dire, il y a beaucoup à dire, et je m'identifie à ça. Pour moi, ce genre de dialogue, ces grands discours ou ces longs paragraphes, c'est quelque chose que j'apprécie vraiment. Je connais beaucoup d'acteurs qui ne sont pas d'accord, mais j'apprécie ça plus qu'un échange rapide. J'aime quand j'ai beaucoup de choses à dire, à écouter. Je trouve que ça amène de la profondeur, que même une scène sans parole peut en dire long. Cette scène avec Fabien [Frankel], qui joue Criston Cole, quand il avoue, c'était énorme pour nous deux, pas juste avec toutes les émotions, mais pour nous souvenir de nos dialogues. Et de la même façon, mes scènes avec Paddy [Considine] où je reçois mes leçons, j'ai gagné tellement de respect pour lui. Enfin, Paddy est incroyable à regarder. C'est électrique quand il joue et que vous êtes dans la même pièce que lui, surtout quand il vous regarde et qu'il est le roi Viserys. C'est remarquable.”
→ →[Anecdote ou scène qui résume bien la série ?] “Deux moments me viennent à l'esprit pour des raisons différentes, d'abord une scène d'un des épisodes les plus récents, quand Otto est renvoyé, et qu'il averti Alicent en partant. Et ce qu'on a vu avec ces personnages, les Hightower, entre cette dynamique père-fille, ce moment où ils devraient se dire qu'ils s'aiment et qu'ils vont se manquer, ça tourne à la dispute. Mais dans cette scène, ils s'étreignent, ce qui est bizarre, et sont vulnérables émotionnellement, ce qui est bizarre aussi. Alicent doit soudain affronter la réalité de cet horrible monde où ils vivent. Mais pour moi, c'était un rappel du premier épisode, du tournoi. Tout le monde parle du tournoi dans les interviews en disant comme c'était sympa parce que c'était la première fois que tout le monde était ensemble. On avait cette grande scène de groupe, et la séquence dure si longtemps. Je crois qu'il nous a fallu une semaine pour la tourner, et on aurait dit une grande famille à problèmes. Et c'est exactement le sujet de la série.”
→ →[Les scènes en face à face, avec en plus de longs monologues à jouer] “Dans ce monde, quand ils ont quelque chose à dire, il y a beaucoup à dire, et je m'identifie à ça. Pour moi, ce genre de dialogue, ces grands discours ou ces longs paragraphes, c'est quelque chose que j'apprécie vraiment. Je connais beaucoup d'acteurs qui ne sont pas d'accord, mais j'apprécie ça plus qu'un échange rapide. J'aime quand j'ai beaucoup de choses à dire, à écouter. Je trouve que ça amène de la profondeur, que même une scène sans parole peut en dire long. Cette scène avec Fabien [Frankel], qui joue Criston Cole, quand il avoue, c'était énorme pour nous deux, pas juste avec toutes les émotions, mais pour nous souvenir de nos dialogues. Et de la même façon, mes scènes avec Paddy [Considine] où je reçois mes leçons, j'ai gagné tellement de respect pour lui. Enfin, Paddy est incroyable à regarder. C'est électrique quand il joue et que vous êtes dans la même pièce que lui, surtout quand il vous regarde et qu'il est le roi Viserys. C'est remarquable.”
→ →[Anecdote ou scène qui résume bien la série ?] “Deux moments me viennent à l'esprit pour des raisons différentes, d'abord une scène d'un des épisodes les plus récents, quand Otto est renvoyé, et qu'il averti Alicent en partant. Et ce qu'on a vu avec ces personnages, les Hightower, entre cette dynamique père-fille, ce moment où ils devraient se dire qu'ils s'aiment et qu'ils vont se manquer, ça tourne à la dispute. Mais dans cette scène, ils s'étreignent, ce qui est bizarre, et sont vulnérables émotionnellement, ce qui est bizarre aussi. Alicent doit soudain affronter la réalité de cet horrible monde où ils vivent. Mais pour moi, c'était un rappel du premier épisode, du tournoi. Tout le monde parle du tournoi dans les interviews en disant comme c'était sympa parce que c'était la première fois que tout le monde était ensemble. On avait cette grande scène de groupe, et la séquence dure si longtemps. Je crois qu'il nous a fallu une semaine pour la tourner, et on aurait dit une grande famille à problèmes. Et c'est exactement le sujet de la série.”
▼ △ ▼
→ → Les Fashion Week se poursuivent... le 28 septembre, nous en avions deux au même endroit en plus, à Paris ! Nous avions Emma D'Arcy au défilé de la nouvelle collection d'Acne, un créateur qu'iel a beaucoup porté durant la promotion de la saison 1, tandis qu'Emily Carey était à la présentation de Balmain. Le lendemain, nous retrouvions Fabien Frankel au lancement de la New Glenfiddich Time.
▼ △ ▼
→ → Deux photoshoots en deux jours pour Olivia Cooke... à la veille de ce qui promet d'être l'une des scènes les plus mémorables de la saison 1 de House of the Dragon, l'actrice fait la couverture du magazine The Observer, le supplément du dimanche du Guardian. Découvrez sans plus attendre quelques extraits de l'interview.
→ →[Sur la série] “Quand j'auditionnais, je me disais, 'Je ne sais pas si c'est ce que je veux faire de ma vie.' Mais ensuite j'ai lu les deux premiers scripts, et c'était excellent. [...] [Alicent] est une incubatrice qui a été endoctrinée pour ne pas avoir de problèmes avec ça, et pour rester à sa place à la court. Mais ça ne veut pas dire qu'elle n'a pas d'indépendance, de pouvoir ou qu'elle est idiote : c'est juste une amalgamation très intéressante.”
→ →[Son mal-être dans sa jeunesse] “C'était un énorme cocktail : avoir le mal du pays sans le savoir, ne pas m'arrêter depuis que j'avais eu 18 ans, être toute seule pendant de longues périodes. [En 2016 elle a fait une dépression]. C'était mauvais, mauvais. Terrible, en réalité. Et je continuais à travailler, j'étais très bonne pour le cacher. [A l'époque, elle tournait Ready Player One et Thoroughbreds, comme distractions, surtout le dernier, car elle y jouait une sociopathe qui n'éprouvait rien] en fait, ça me permettait d'échapper à moi même.”
→ →[Sur la série] “Quand j'auditionnais, je me disais, 'Je ne sais pas si c'est ce que je veux faire de ma vie.' Mais ensuite j'ai lu les deux premiers scripts, et c'était excellent. [...] [Alicent] est une incubatrice qui a été endoctrinée pour ne pas avoir de problèmes avec ça, et pour rester à sa place à la court. Mais ça ne veut pas dire qu'elle n'a pas d'indépendance, de pouvoir ou qu'elle est idiote : c'est juste une amalgamation très intéressante.”
→ →[Son mal-être dans sa jeunesse] “C'était un énorme cocktail : avoir le mal du pays sans le savoir, ne pas m'arrêter depuis que j'avais eu 18 ans, être toute seule pendant de longues périodes. [En 2016 elle a fait une dépression]. C'était mauvais, mauvais. Terrible, en réalité. Et je continuais à travailler, j'étais très bonne pour le cacher. [A l'époque, elle tournait Ready Player One et Thoroughbreds, comme distractions, surtout le dernier, car elle y jouait une sociopathe qui n'éprouvait rien] en fait, ça me permettait d'échapper à moi même.”
▼ △ ▼
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire