Le très attendu épisode 9, qui après GOT, a la réputation d'être le plus énorme de la saison, est sorti ; alors avant le grand final, retour sur les coulisses...
→ → Quelques anecdotes venant de The House that Dragons Built
→La réalisatrice Clare Kilner a revu la scène du pilote où Otto envoie Alicent dans les appartements du roi, pour créer une sorte de parallèle avec celle de l'épisode 9 où Alicent envoie plus ou moins Otto se faire foutre.
→Michelle Bonnard, l'interprète de la maquerelle interrogée par Criston Cole et Aemond, est l'ancienne professeure d'arts dramatiques de Fabien Frankel, lorsqu'il était élève à la prestigieuse LAMDA. Cela a rendu Fabien très nerveux.
→Les jeunes acteurs qui jouaient les enfants envoyés dans les arènes de combat portaient de fausses dents, de faux ongles... ceux qui ont été auditionnés venaient de clubs de judo et autres arts martiaux.
Le design du septuaire a été inspiré du mémorial juif de Berlin. Il est complètement différent de celui qu'on voit être détruit dans GOT.
→La fosse aux dragons mesure 76 mètres de long et 36 mètres de largeur. Avec les restrictions dues au covid, une majorité des personnes qui apparaissent ont été ajoutées par effets spéciaux.
→Les lames en acier valyrien - les épées Feunoyr et Noire Sœur, ainsi que la fameuse dague qui est passée de Viserys à Aegon à [...] à Littlefinger à Bran à Arya - sont réellement forgées.
→Pour l'armure de Rhaenys, Jamy Temime a utilisé les couleurs des Targaryen, le rouge et le noir, ainsi que des détails rappelant des écailles de dragons. Il a fallu entre 10 et 12 semaines pour le modelage. Bien qu'elle soit faite sur-mesure pour Eve Best, cette dernière la trouve très inconfortable.
→Les concepts artistiques de l'épisode :
→La réalisatrice Clare Kilner a revu la scène du pilote où Otto envoie Alicent dans les appartements du roi, pour créer une sorte de parallèle avec celle de l'épisode 9 où Alicent envoie plus ou moins Otto se faire foutre.
→Michelle Bonnard, l'interprète de la maquerelle interrogée par Criston Cole et Aemond, est l'ancienne professeure d'arts dramatiques de Fabien Frankel, lorsqu'il était élève à la prestigieuse LAMDA. Cela a rendu Fabien très nerveux.
→Les jeunes acteurs qui jouaient les enfants envoyés dans les arènes de combat portaient de fausses dents, de faux ongles... ceux qui ont été auditionnés venaient de clubs de judo et autres arts martiaux.
Le design du septuaire a été inspiré du mémorial juif de Berlin. Il est complètement différent de celui qu'on voit être détruit dans GOT.
→La fosse aux dragons mesure 76 mètres de long et 36 mètres de largeur. Avec les restrictions dues au covid, une majorité des personnes qui apparaissent ont été ajoutées par effets spéciaux.
→Les lames en acier valyrien - les épées Feunoyr et Noire Sœur, ainsi que la fameuse dague qui est passée de Viserys à Aegon à [...] à Littlefinger à Bran à Arya - sont réellement forgées.
→Pour l'armure de Rhaenys, Jamy Temime a utilisé les couleurs des Targaryen, le rouge et le noir, ainsi que des détails rappelant des écailles de dragons. Il a fallu entre 10 et 12 semaines pour le modelage. Bien qu'elle soit faite sur-mesure pour Eve Best, cette dernière la trouve très inconfortable.
→Les concepts artistiques de l'épisode :
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→ → Commentaires de l'équipe sur l'épisode
→Miguel Sapochnik : L'épisode 9 a toujours été un scénario qu'on aimait énormément, parce que c'est un thriller, une course contre la montre. Enfin, le roi est mort. Et maintenant, il se passe quoi ?
→Ryan Condal : Nous nous aventurons en terres inconnues ici : on se trouve aux portes de la guerre. On voyait vraiment cet épisode comme un film à suspens d'Hitchcock.
→Clare Kilner : Tout explose, et Alicent et Otto essayent de contrôler la situation. Alors ils rassemblent tout le monde, vont dans la salle du conseil restreint, et voient ce qu'ils peuvent faire. Enfin, c'est de moins ce que pense Alicent.
→Ryan : Alicent est horrifiée, parce qu'elle voit que non seulement son mari est mort, ce qu'elle n'a pas encore réalisé, mais en plus, son conseil a comploté en secret sur quoi faire quand ce jour viendrait pour qu'ils renversent Rhaenyra et mettent son fils Aegon sur le trône. Ce qui est ce qu'elle voulait, mais elle ne voulait pas le faire avec des moyens traîtres.
→Miguel : C'est un bon départ pour elle parce qu'elle se rend compte que ce n'est peut-être pas le père qu'elle connaissait quand elle était enfant, mais c'est certainement l'homme qu'il est maintenant.
→Ryan : On aimait l'idée que Beesbury soit honorable jusqu'à la moelle, et un vrai fan de Viserys. Il a l'air d'être ce genre de vieillard sénile qui perd un peu la boule, mais on aime qu'il ait cette dernière prise de position finale, traite toutes les personnes dans la pièce de menteurs et de traitres, et qu'il en meurt, mais il s'en va d'une façon honorable même si inattendue.
→Miguel Sapochnik : L'épisode 9 a toujours été un scénario qu'on aimait énormément, parce que c'est un thriller, une course contre la montre. Enfin, le roi est mort. Et maintenant, il se passe quoi ?
→Ryan Condal : Nous nous aventurons en terres inconnues ici : on se trouve aux portes de la guerre. On voyait vraiment cet épisode comme un film à suspens d'Hitchcock.
→Clare Kilner : Tout explose, et Alicent et Otto essayent de contrôler la situation. Alors ils rassemblent tout le monde, vont dans la salle du conseil restreint, et voient ce qu'ils peuvent faire. Enfin, c'est de moins ce que pense Alicent.
→Ryan : Alicent est horrifiée, parce qu'elle voit que non seulement son mari est mort, ce qu'elle n'a pas encore réalisé, mais en plus, son conseil a comploté en secret sur quoi faire quand ce jour viendrait pour qu'ils renversent Rhaenyra et mettent son fils Aegon sur le trône. Ce qui est ce qu'elle voulait, mais elle ne voulait pas le faire avec des moyens traîtres.
→Miguel : C'est un bon départ pour elle parce qu'elle se rend compte que ce n'est peut-être pas le père qu'elle connaissait quand elle était enfant, mais c'est certainement l'homme qu'il est maintenant.
→Ryan : On aimait l'idée que Beesbury soit honorable jusqu'à la moelle, et un vrai fan de Viserys. Il a l'air d'être ce genre de vieillard sénile qui perd un peu la boule, mais on aime qu'il ait cette dernière prise de position finale, traite toutes les personnes dans la pièce de menteurs et de traitres, et qu'il en meurt, mais il s'en va d'une façon honorable même si inattendue.
→Miguel : La saison 1 est une histoire très centrale sur l'implosion d'une famille, et donc on ne sort pas trop. Et une fois qu'on est là, vous voyez, on voulait en tirer le plus possible.
→Sara Hess : Otto Hightower a décidé qu'il fallait tuer Rhaenyra, Daemon et toute leur famille pour n'avoir aucune opposition. Alicent refuse de laisser cela se produire, et cela lance cette course pour trouver Aegon en premier, parce qu'ils veulent tous les deux l'influencer.
→Ryan : Otto envoie les jumeaux Cargyll, ser Erryk et ser Arryk. Alicent demande Cole, son loyal molosse, qui emmène Aemond, et ils partent dans les rues, en sachant qu'Aemond sait ce qu'Aegon aime faire quand il traîne dans les bas fonds de Port-Réal. Et je pense que c'est le gros mystère de l'épisode : qui est vraiment Aegon ? Qui est cet homme qu'ils veulent couronner ?
→Miguel : Au fil de l'épisode, Erryk et Arryk nous montrent qu'ils ne sont pas sur la même longueur d'ondes, en particulier quand il s'agit de si Aegon est un roi digne de ce nom. Là où Arryk est d'accord pour suivre les ordres, Erryk a de plus en plus le sentiment que son frère est perdu. Et lors de la capture d'Aegon, Erryk ne fait rien du tout. Il laisse son frère se battre avec Criston Cole, mais il n'intervient pas et ensuite se volatilise.
→Clare : Quand Aegon et Aemond se battent, on voulait vraiment en faire une haine fraternelle, et Tom y est vraiment allé, et voulait créer ce personnage tourmenté, par rapport à Aemond, qui est tourmenté mais qui garde tout ça enfoui et sous la surface.
→Tom Glynn-Carney : Il y a beaucoup d'amertume de la part d'Aemond. Il est fait pour être roi. Il veut cette responsabilité, il pense qu'il serait bon dans ce rôle. Mais comme Aegon est l'aîné, c'est à lui que ça échoie.
→Ryan : Aegon est un roi improbable et réticent. Il ne croit pas que son père l'a jamais suffisamment aimé ou respecté pour penser qu'il était la bonne personne pour ce boulot. Et comme Daemon, Aegon voulait juste savoir que Viserys l'aimait et voyait ses capacités. Et il n'a jamais eu ça, parce que son père est mort avant de pouvoir dire quoi que ce soit.
→Ryan : Le couronnement d'Aegon est un autre des problèmes de la série. Les Hightower aiment vraiment ces mises en scène. Mais l'idée est que, pour qu'Aegon soit accepté par le peuple, il faut le mettre en face d'eux et leur montrer qu'il est leur roi. Alors ils font cette grande cérémonie pompeuse, lui mettent l'épée du Conquérant dans la main, la couronne du Conquérant sur la tête, l'appellent le roi devant le peuple, pour qu'ils acceptent que c'est Aegon leur roi. Sans réaliser que c'est fait sans que Peyredragon ne soit au courant. Peyredragon ne sait pas encore que Viserys est mort.
→Sara Hess : Otto Hightower a décidé qu'il fallait tuer Rhaenyra, Daemon et toute leur famille pour n'avoir aucune opposition. Alicent refuse de laisser cela se produire, et cela lance cette course pour trouver Aegon en premier, parce qu'ils veulent tous les deux l'influencer.
→Ryan : Otto envoie les jumeaux Cargyll, ser Erryk et ser Arryk. Alicent demande Cole, son loyal molosse, qui emmène Aemond, et ils partent dans les rues, en sachant qu'Aemond sait ce qu'Aegon aime faire quand il traîne dans les bas fonds de Port-Réal. Et je pense que c'est le gros mystère de l'épisode : qui est vraiment Aegon ? Qui est cet homme qu'ils veulent couronner ?
→Miguel : Au fil de l'épisode, Erryk et Arryk nous montrent qu'ils ne sont pas sur la même longueur d'ondes, en particulier quand il s'agit de si Aegon est un roi digne de ce nom. Là où Arryk est d'accord pour suivre les ordres, Erryk a de plus en plus le sentiment que son frère est perdu. Et lors de la capture d'Aegon, Erryk ne fait rien du tout. Il laisse son frère se battre avec Criston Cole, mais il n'intervient pas et ensuite se volatilise.
→Clare : Quand Aegon et Aemond se battent, on voulait vraiment en faire une haine fraternelle, et Tom y est vraiment allé, et voulait créer ce personnage tourmenté, par rapport à Aemond, qui est tourmenté mais qui garde tout ça enfoui et sous la surface.
→Tom Glynn-Carney : Il y a beaucoup d'amertume de la part d'Aemond. Il est fait pour être roi. Il veut cette responsabilité, il pense qu'il serait bon dans ce rôle. Mais comme Aegon est l'aîné, c'est à lui que ça échoie.
→Ryan : Aegon est un roi improbable et réticent. Il ne croit pas que son père l'a jamais suffisamment aimé ou respecté pour penser qu'il était la bonne personne pour ce boulot. Et comme Daemon, Aegon voulait juste savoir que Viserys l'aimait et voyait ses capacités. Et il n'a jamais eu ça, parce que son père est mort avant de pouvoir dire quoi que ce soit.
→Ryan : Le couronnement d'Aegon est un autre des problèmes de la série. Les Hightower aiment vraiment ces mises en scène. Mais l'idée est que, pour qu'Aegon soit accepté par le peuple, il faut le mettre en face d'eux et leur montrer qu'il est leur roi. Alors ils font cette grande cérémonie pompeuse, lui mettent l'épée du Conquérant dans la main, la couronne du Conquérant sur la tête, l'appellent le roi devant le peuple, pour qu'ils acceptent que c'est Aegon leur roi. Sans réaliser que c'est fait sans que Peyredragon ne soit au courant. Peyredragon ne sait pas encore que Viserys est mort.
→Miguel : Rhaenys se réveille et découvre qu'elle est prisonnière, parce que si elle part, elle pourrait aller directement auprès de Rhaenyra et l'avertir de ce qu'il se passe.
→Ryan : Erryk Cargyll, qui en a eu assez d'Aegon, et ne veut pas le voir devenir roi, fausse compagnie à la Garde Royale, et emmène Rhaenys hors du château, tout droit au milieu de ce gros rassemblement pour assister au couronnement.
→Miguel : Il nous fallait une dernière scène, on a essayé de se demander quelle était la pire chose qui pouvait se produire lors du couronnement. Et on a réalisé que ce serait un dragon qui est lâché.
→Ryan : Rhaenys, la reine qui ne fut jamais, est une grande dragonnière. Nous voulions un moment triomphant pour elle à la fin de la saison.
→Miguel : On voulait s'assurer que ça nourrisse son personnage. Elle n'était pas passive, et ça semblait être un moment de valeur où, au lieu qu'on la voit assister à quelque chose, qu'elle y prenne part, et que ses valeurs morales soient la raison de son inaction plutôt que de son action.
→Ryan : Elle sait que si elle met le feu, elle met un terme à toute possibilité de guerre, mais je pense qu'elle ne voulait probablement pas être responsable de faire ça à une autre mère. Et c'est un choix complexe, que les gens pourraient ne pas comprendre ou critiquer, mais c'est le choix que fait Rhaenys à ce moment. On la voit sortir, être celle qui va avertir Peyredragon du coup d'état, de l'usurpation du trône de Rhaenyra. Et c'est un moment héroïque pour son personnage.
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→ → Mini revue de presse • Décryptage de l'épisode avec la réalisatrice, la scénariste et l'actrice pour Entertainment Weekly et The Hollywood Reporter
→Ryan : Erryk Cargyll, qui en a eu assez d'Aegon, et ne veut pas le voir devenir roi, fausse compagnie à la Garde Royale, et emmène Rhaenys hors du château, tout droit au milieu de ce gros rassemblement pour assister au couronnement.
→Miguel : Il nous fallait une dernière scène, on a essayé de se demander quelle était la pire chose qui pouvait se produire lors du couronnement. Et on a réalisé que ce serait un dragon qui est lâché.
→Ryan : Rhaenys, la reine qui ne fut jamais, est une grande dragonnière. Nous voulions un moment triomphant pour elle à la fin de la saison.
→Miguel : On voulait s'assurer que ça nourrisse son personnage. Elle n'était pas passive, et ça semblait être un moment de valeur où, au lieu qu'on la voit assister à quelque chose, qu'elle y prenne part, et que ses valeurs morales soient la raison de son inaction plutôt que de son action.
→Ryan : Elle sait que si elle met le feu, elle met un terme à toute possibilité de guerre, mais je pense qu'elle ne voulait probablement pas être responsable de faire ça à une autre mère. Et c'est un choix complexe, que les gens pourraient ne pas comprendre ou critiquer, mais c'est le choix que fait Rhaenys à ce moment. On la voit sortir, être celle qui va avertir Peyredragon du coup d'état, de l'usurpation du trône de Rhaenyra. Et c'est un moment héroïque pour son personnage.
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→ → Mini revue de presse • Décryptage de l'épisode avec la réalisatrice, la scénariste et l'actrice pour Entertainment Weekly et The Hollywood Reporter
→Eve Best sur le grand moment de Rhaenys : “C'est le clou du spectacle. C'est le moment où elle se montre comme la meilleure dirigeante potentielle. C'est l'action la plus outrageuse et explosive de la saison. D'une certaine façon, c'est l'acte le plus miséricordieux et gracieux. C'est parce qu'elle est si intelligente, en fin de compte elle choisit de faire ce qui est bien, de ne pas détruire [et les civils ?]. C'est vraiment un moment de pardon et d'amour, d'une façon bizarre. Elle a tout cet arsenal, et son désir de vengeance est énorme. Elle a souffert de toutes ces pertes, et pour elle-même et les autres, le désir de destruction est énorme. Et pourtant le choix de ne pas détruire devient plus grand. [eeeeuuuuh et les pauvres civils qui se font écrabouiller ???]. C'est une marque de grandeur et un moment très inspirant, je dirais qui résonne en particulier dans le contexte géopolitique actuel, avec la Russie. Le choix de ne pas faire exploser la bombe est plus important. [...] Alicent fait ses preuves dans cette scène. Je crois que Rhaenys l'avait prise pour quelqu'un à qui elle n'avait pas besoin de faire attention, et elle se montre comme quelqu'un avec qui il va falloir compter. Je pense qu'il y a une sorte de respect mutuel qui se produit à cause de cette scène. Ce sont deux femmes qui ont vécu le même traitement, les mêmes abus, répressions, oppressions, les horreurs de ce système patriarcal. Elles sont sur la même longueur d'onde, elles comprennent, elles éprouvent de la sympathie pour l'autre. Ce n'est pas seulement une surprise pour Rhaenys, mais je pense que c'est aussi la première fois dans sa vie où elle se sent vulnérable. Alicent a parlé directement à son cœur, et à cet instant les rôles sont inversés : Rhaenys est pendant un instant comme une enfant. Alicent est la seule à l'avoir vraiment vue. Elle s'affirme en tant que mère. Je pense que Rhaenys le voit et l'apprécie.”
→ Clare Kilner sur les dragons : “Le plus important, c'est qui contrôle les dragons. Ils ont ce dragon, et ils pensent par conséquent qu'ils ont tout le pouvoir. Et Otto se repose sur le fait qu'ils ont ce dragon. Le fait que Rhaenys émerge avec le dragon et s'en aille veut dire qu'il leur reste peu avec quoi se battre. D'un côté, il veut commander de fermer les portes pour le garder ici, le maîtriser et se débarrasser de Rhaenys, garder l'arme nucléaire, d'une certaine façon. Mais d'un autre côté, si le dragon reste, il pourrait tous les tuer. [...] Je n'avais plus de voix à la fin. Je répétais, 'Le dragon est là ! Il surgit à travers le sol ! Il fait face à Alicent, Alicent te fait face et elle ne te fait pas confiance !' Et ensuite l'autre point de vue, avec Alicent/Olivia : 'Elle perce le sol ! Elle vient vers toi !' Mais c'est très drôle parce que c'est comme une retombée en enfance.”
→ Clare Kilner sur les dragons : “Le plus important, c'est qui contrôle les dragons. Ils ont ce dragon, et ils pensent par conséquent qu'ils ont tout le pouvoir. Et Otto se repose sur le fait qu'ils ont ce dragon. Le fait que Rhaenys émerge avec le dragon et s'en aille veut dire qu'il leur reste peu avec quoi se battre. D'un côté, il veut commander de fermer les portes pour le garder ici, le maîtriser et se débarrasser de Rhaenys, garder l'arme nucléaire, d'une certaine façon. Mais d'un autre côté, si le dragon reste, il pourrait tous les tuer. [...] Je n'avais plus de voix à la fin. Je répétais, 'Le dragon est là ! Il surgit à travers le sol ! Il fait face à Alicent, Alicent te fait face et elle ne te fait pas confiance !' Et ensuite l'autre point de vue, avec Alicent/Olivia : 'Elle perce le sol ! Elle vient vers toi !' Mais c'est très drôle parce que c'est comme une retombée en enfance.”
→ Sara Hess s'il est possible de rendre Aegon sympathique après qu'il ait violé la servante : “C'est dur de parler de ça d'une façon qui soit ... Je pense juste que, le fait que quelqu'un ait commis cet acte, n'est pas une raison pour qu'on ait une discussion nuancée, ou qu'on éprouve de la sympathie pour lui, tout en reconnaissant que ce qu'il a fait est inexcusable. C'est une façon simpliste de dire : 'il a violé quelqu'un, il est horrible, mauvais, et il ne sera jamais intéressant ou sympathique.' J'ai travaillé sur une histoire de ce genre dans Orange Is the New Black, où un personnage est violé, et on découvre les pensées de son violeur qui, à ce moment, n'a pas compris qu'il était en train de violer cette femme parce qu'il se disait, 'c'est ma chérie, je l'aime et elle aime pas trop ça.' Je pense qu'il y a beaucoup d'hommes tout à fait décents qui ont commis des avances sexuelles qui n'étaient pas les bienvenues à la fac, et qui ne se rendent pas compte de l'effet que ça a eu sur la personne qui en a fait l'objet, et qui se considèrent vraiment comme de bonnes personnes. Alors que la personne concernée a vécu ça complètement différemment. Personne n'a jamais expliqué à Aegon ce qu'est le consentement, ce à quoi est supposé ressembler une relation, et sa mère a épousé son père quand elle avait 14 ans. Alors c'est l'explication longue de : 'c'est plus compliqué que tu as violé quelqu'un, c'est la fin pour toi.' On a improvisé la réplique 'est-ce que vous m'aimez ?' sur le tournage.”
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