samedi 11 mars 2023

Nouveautés du cast au 1er mars 2023

→ → Les BAFTA sont passés, mais nous avons encore du contenu à ce sujet qui apparaît, petit à petit. Notamment, des portraits d'Olivia Cooke pour Harper's Bazaar, où l'actrice et son équipe beauté reviennent sur sa préparation pour l'événement. Le but était de rendre hommage à Vivienne Westwood, pas seulement avec le corset et la jupe, mais aussi avec la coiffure, comme l'explique Sam McKnight : “Un peu sauvage, un peu sexy, un peu romantique : je me suis dit, 'que ferait Vivienne ?'

→ →Bien qu'elle ait semblé à l'aise ainsi, Olivia explique qu'elle ne se prépare pas mentalement quand elle assiste à ce genre d'événements. “Je me pointe, et ensuite je réalise qu'on me prend en photo, qu'il y a aussi des gens comme Viola Davis et Brendan Gleeson, alors j'ai une expression perplexe et accablée !” Olivia a aussi un rituel pour sa préparation physique : “C'est amusant de jouer avec des coiffures et des maquillages. Ca peut être un peu stressant, et on peut dire que ce n'est pas mon habitat naturel.” Quand elle se sent le plus à l'aise, c'est “quand je me ressemble, quand mes cheveux sont plus naturels, que j'ai un maquillage plus naturel.

→ →Puisque les tapis rouges sont l'occasion de sortir des sentiers battus, Olivia cherche de l'inspiration pour ses looks sur Pinterest. Ces occasions vont aussi dépendre de l'équipe en charge de sa coiffure et maquillage : “Lisa Eldrige et Sam McKnight ont fait ma mise en beauté [pour les BAFTA], alors je m'en remet aux maîtres dans ce cas.” Eldridge explique que “pour le look des BAFTA d'Olivia nous avons gardé le maquillage simple, naturel et monochrome, avec un accent sur les yeux. Olivia a des sourcils fantastiques, alors je les ai bien défini et laqués. Le contour a ajouté de la forme et de la chaleur aux traits déjà incroyables d'Olivia.” Et sinon, Olivia garde quelques essentiels dans ses affaires : “Je garde une crème hydratante, des lingettes,” et une barre protéinée qu'elle a engloutie après la cérémonie, avant de dîner.

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→ → D'autres petits événements avaient eu lieu le week-end des BAFTA, il est temps de les rattraper. Le 18 février, Aisling Franciosi défilait pour Simone Rocha lors de la Fashion Week de Londres. Le 20 février, Jessica Henwick se rendait à la présentation de Moncler lors de la Fashion Week de Londres. Le 21 février, Tobias Menzies était à celle de Women, Beware The Devil, tandis que Pedro Pascal était à l'avant-première de la saison 3 de The Mandalorian.

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→ → Un peu de changement de décors ! Si Bella Ramsey était à Londres pour les Casting Directors Guild Awards le 22 février, Gwendoline Christie était à la Fashion Week de Milan le même jour pour la présentation de Fendi ! Et le lendemain, Aisling Franciosi était à la soirée d'ouverture du Festival de Dublin, où son dernier film God's Creatures était projeté le soir même.

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→ → Encore des petits défilés... Pendant la Fashion Week de Milan, le 23 février Olivia Cooke était à la présentation de Prada ; le lendemain, Milly Alcock était à celle de Tod's. Pendant ce temps, le 24 février, Pedro Pascal faisait la promo de Mando en étant invité sur le plateau du Graham Norton Show.

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→ → Entre The Last of Us & The Mandalorian, Pedro Pascal est partout sur le petit écran en ce moment ! En plus de plusieurs événements où il a assisté, il manquait tout juste un petit photoshoot pour compléter la promo. C'est donc pour Flaunt qu'il s'y colle...

→ →[Son 'engagement' envers les papas des franchises dans lesquelles il apparaît] “C'est drôle quand on y pense : de passer d'acteur qui cherche à faire carrière pendant des années, à acteur qui tourne pendant des années mais sans beaucoup de visibilité jusqu'à GOT ; ils n'étaient absolument pas précis sur le type de personnage qu'ils recherchaient, et je me souviens avoir pensé qu'il devrait ressembler à mon père. Non pas que mon père se ballade avec un accent, mais je me souviens m'être immédiatement ancré à un son, parce que je savais qu'Oberyn Martell ne pouvait pas avoir un accent californien, vous voyez ? Je ne sais même pas à quoi ressemble mon accent naturel. J'ai passé 20 ans à New York, quand j'y retourne je parle comme tout ceux de Brooklyn. Donc tout commence avec un père.

→ →[L'ouverture réticente de Joel avec Ellie, et comment il joue ça] “Ce qu'il se passe est très clair, vous voyez ? C'est cette incroyable structure narrative qui démarre avec le jeu, et l'adaptation permet de développer les choses. Il n'y aura peut-être pas de cocktails Molotov balancés, ou de centaines de moyens différents de tuer des infectés, mais l'histoire prend l'opportunité de s'étendre. Essentiellement, la relation entre cet homme et cette jeune fille, qui reflète sa propre violence, sa fatigue du monde, sa vision cynique. Mais sa vision cynique à elle n'a pas brisé son espoir ou sa fascination pour le monde qu'elle découvre. Donc je pense qu'en fin de compte, voir un fragment d'espoir qui rallume quelque chose en lui, qu'il pensait mort depuis longtemps, en même temps que sa fille, et son échec à avoir pu la sauver, est réveillé par Ellie. C'est très simple, mais ça permet de développer cette idée de retrouver l'espoir, et de ne pas vouloir le garder à n'importe quel prix.

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→ → La diffusion de Extrapolations approche à grand pas. Cette série coup de poing sur le changement climatique est très prometteuse, et Indira Varma en démarre la promotion avec un photoshoot et un interview pour le Guardian.

→ →[Son personnage de Gita Mishra dans Extrapolations] “Cet épisode explore l'idée de se prendre pour Dieu. Je me pensais, en rapport avec Obi-Wan Kenobi : jusqu'où quelqu'un pourrait aller pour sauver une vie ou la planète ? Ca commence toujours avec de bonnes intentions, mais où et comment les gens se retrouvent corrompus en essayant d'atteindre cet objectif ?

→ →[Son attrait pour l'humour] “Je ne me prends pas au sérieux. Comme pour ce photoshoot [pour cet interview] : vous finissez par faire le con, et rire et penser : 'Mince, j'espère qu'ils n'utiliseront pas les photos où j'ai l'air d'une débile.' Mais c'est plus drôle que d'être sérieux. Même si vous savez que vous avez l'air plus à votre avantage en étant sérieux. Mais ce n'est pas qui vous êtes.

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→ → Le tout premier interview d'Ewan Mitchell était sorti en décembre dernier, par le magazine The Face. A présent, ce même magazine accorde à l'acteur son tout premier photoshoot ! La session est assez spéciale, il y teste plusieurs looks. Comme d'hab quelques extraits :

→ →[Ses inspirations pour Aemond] “Pour la marche d'Aemond, il y avait quelque chose qui me plaisait dans les icônes des films d'horreur des années 80. Peu importe leur lenteur, ils rattrapent toujours Jamie Lee Curtis. Il y a quelque chose avec le langage corporel de Freddy [Krueger, dans les Griffes de la Nuit], Michael Myers [dans Halloween], Jeepers Creepers... [Aemond porte aussi tout le temps] un long manteau. [...] Et Shakespeare ! Il disait que les yeux étaient la fenêtre de l'âme. Alors, qu'est-ce que cela veut dire quand vous n'en avez qu'un seul ? Comment vous compensez ? Avec la puissance physique ? Aemond est une telle cocotte minute d'émotions : si il sourit, ça ne veut pas dire qu'il est heureux forcément. Il est prêt à exploser à tout instant.

→ →[Ses choix d'interprétation] “J'ai choisi de faire quelque chose dès le premier jour. J'ai dit à Ryan [Condal] : 'J'ai dans l'idée d'éviter Matt Smith et même de ne pas le regarder dans les yeux.' Parce qu'il y a cet instant dans l'épisode huit où on se dévisage. Je pensais qu'on pouvait expérimenter et savourer ce moment alors. Aemond idolâtre Daemon, et c'est son premier vrai contact avec lui. Leur arbre généalogique est un cercle ! [Ryan a aimé l'idée, mais ils sont tombés d'accord pour dire que ça ne fonctionnerait que si Matt était d'accord aussi, ce qui a été le cas. Donc pendant le tournage, Ewan ne déjeunait même pas avec Matt.] Je voulais garder cette séparation, pour ne jamais voir Matt, et seulement voir Daemon.

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