→ → La campagne pour les Emmy Awards ne sera officiellement lancée que dans pratiquement deux mois, avec les nominations annoncées au mois de juillet, mais les différents médias y vont déjà de bon train avec les prédictions. House of the Dragon et ses acteurs sont déjà revenus dans quelques pronostics de The Hollywood Reporter et Variety entre autres, comme Paddy Considine. Alors pour faire monter la hype, le magazine Entertainment Weekly s'est entretenu avec l'interprète de Viserys Ier, revenant sur cette première saison riche en rebondissements.
→ →[Les effets spéciaux pour la maladie de Viserys] “Une grande partie, c'était des effets pratiques. Il fallait entre quatre et quatre heures et demie, sûrement un peu plus. Il m'a fallu beaucoup de temps dans la chaise du maquillage pour le look de l'épisode 8, qui était mon look final. Il y avait beaucoup de ce travail qui allait de pair avec les prothèses, et les touches finales avec la CGI, comme les trous dans la joue, l'orbite vide, et le reste. Et l'amaigrissement du visage, parce que comme on tournait dans le désordre, je ne pouvais pas me lancer dans un régime drastique.”
→ →[Était-il jaloux de ne pas pouvoir monter sur un dragon ?] “[Rires] Oui. J'étais jaloux au début. J'ai un petit neveu, et il adore les dragons. C'est son truc. Quand il y a eu la nouvelle, 'ton tonton Paddy va être le roi des dragons,' il était genre 'Oh génial !' Et il a commencé à me demander : 'Tu as une épée ? Tu vas te battre avec ?' 'Non. Non, je ne me bats pas.' 'Tu vas voler sur un dragon ?' 'Non.' Et son visage, genre 'Mais tu feras quoi ?' 'Et bien, je serais assis sur mon c*l sur une chaise piquante.' [Rires] Mais je n'ai été jaloux que jusqu'à ce que j'apprenne comme c'était chi*nt d'être assis sur ce truc pendant 12 heures par jour.”
→ →[Les effets spéciaux pour la maladie de Viserys] “Une grande partie, c'était des effets pratiques. Il fallait entre quatre et quatre heures et demie, sûrement un peu plus. Il m'a fallu beaucoup de temps dans la chaise du maquillage pour le look de l'épisode 8, qui était mon look final. Il y avait beaucoup de ce travail qui allait de pair avec les prothèses, et les touches finales avec la CGI, comme les trous dans la joue, l'orbite vide, et le reste. Et l'amaigrissement du visage, parce que comme on tournait dans le désordre, je ne pouvais pas me lancer dans un régime drastique.”
→ →[Était-il jaloux de ne pas pouvoir monter sur un dragon ?] “[Rires] Oui. J'étais jaloux au début. J'ai un petit neveu, et il adore les dragons. C'est son truc. Quand il y a eu la nouvelle, 'ton tonton Paddy va être le roi des dragons,' il était genre 'Oh génial !' Et il a commencé à me demander : 'Tu as une épée ? Tu vas te battre avec ?' 'Non. Non, je ne me bats pas.' 'Tu vas voler sur un dragon ?' 'Non.' Et son visage, genre 'Mais tu feras quoi ?' 'Et bien, je serais assis sur mon c*l sur une chaise piquante.' [Rires] Mais je n'ai été jaloux que jusqu'à ce que j'apprenne comme c'était chi*nt d'être assis sur ce truc pendant 12 heures par jour.”
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→ → La gamme de vodka créée par Jason Momoa, Meili, a attiré l'œil de plusieurs médias : le Los Angeles Times a notamment réalisé une mini session photo et interview avec l'acteur et ses collègues Taylor Freesolo Rees, Blaine Halvorson et Renan Ozturk, revenant sur les 7 ans nécessaires à la création de ce produit.
→ →[La 'mode' des célébrités de lancer leur marque de vodka/gin/bière/vin...] “[Pour Meili, il préfère] que le breuvage se démarque pour ce qu'il est. [Pendant les 7 années de fabrication, il n'a rien posté sur ses réseaux pour annoncer la collaboration]. Je ne me considère même pas comme une célébrité. C'est bizarre pour moi, très bizarre. Si vous me connaissiez, vous seriez juste genre 'Oh, c'est Momoa.' Je suis exactement la même personne qu'avant d'avoir rejoint cette industrie.”
→ →[Ses projets] “Je me fais offrir des gammes de liqueurs. Je me fais offrir des gammes d'eaux. De tout. 'Est-ce que vous voulez être l'ambassadeur de ça ?' Je joue, et parfois quelqu'un édite, et soit ce sera bon, soit ce sera pas bon. Ce que j'aime, c'est diriger, écrire, faire les choses moi-mêmes... Si vous allez me juger et ne pas aimer, ce sera parce que c'est moi qui ai pris la décision de faire les choses de telle ou telle façon.”
→ →[La 'mode' des célébrités de lancer leur marque de vodka/gin/bière/vin...] “[Pour Meili, il préfère] que le breuvage se démarque pour ce qu'il est. [Pendant les 7 années de fabrication, il n'a rien posté sur ses réseaux pour annoncer la collaboration]. Je ne me considère même pas comme une célébrité. C'est bizarre pour moi, très bizarre. Si vous me connaissiez, vous seriez juste genre 'Oh, c'est Momoa.' Je suis exactement la même personne qu'avant d'avoir rejoint cette industrie.”
→ →[Ses projets] “Je me fais offrir des gammes de liqueurs. Je me fais offrir des gammes d'eaux. De tout. 'Est-ce que vous voulez être l'ambassadeur de ça ?' Je joue, et parfois quelqu'un édite, et soit ce sera bon, soit ce sera pas bon. Ce que j'aime, c'est diriger, écrire, faire les choses moi-mêmes... Si vous allez me juger et ne pas aimer, ce sera parce que c'est moi qui ai pris la décision de faire les choses de telle ou telle façon.”
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→ → Pour cette deuxième quinzaine d'avril, nous avons encore des promotions. Le 14 avril, Nikolaj Coster Waldau se rendait à une projection suivie d'un Q&A de The Last Thing He Told Me aux DGA de Los Angeles lors de leur événement Deadline Contenders Television. Sophie Turner était au concert Cup of Joe de son mari à Londres, j'aime cet ensemble jaune. Le 16 avril, Paddy Considine assistait à son tour à un panel lors des Deadline Contenders, avec Ryan Condal à distance pour une nouvelle projection de House of the Dragon, avec un look très rock.
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→ → Encore des événements promos ! Après plus de 2 ans d'absence, Lena Headey faisait son retour sur les tapis rouges pour l'avant-première de sa minisérie White House Plumbers à New York le 17 avril ; elle était ravissante, j'aime sa mise en beauté en particulier. Le 18 avril, Kit Harington était interviewé avec Richard Curtis dans Good Morning Britain suite à sa participation à la campagne Make My Money Matters. Le même jour, Richard Madden se rendait à l'avant-première de Londres de Citadel ; plusieurs interviews de l'acteur réalisés lors des journées presses sont aussi en train de sortir.
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→ → Suite à leur participation à la campagne de Make My Money Matter, le magazine britannique The Guardian s'est penché sur les dessous du court-métrage mettant en scène Kit Harington et Rose Leslie, réunis pour la première fois dans un projet commun depuis leur rencontre dans Game of Thrones il y a maintenant plus de 10 ans. Ce mini film fait suite à une lettre envoyées aux banques responsables de financer les entreprises exploitant les énergies fossiles, signée par entre autres Stephen Fry, Emma Thompson et Mark Rylance.
→ →Sur leur participation au projet, Kit explique que “Je crois que Rose et moi aimions beaucoup l'idée de rejouer ensemble après toutes ces années, et de jouer ce couple bizarre, où vous ne comprenez pas trop ce qu'il se passe. Avec un peu de chances, on espère qu'on a prêté nos visages à quelque chose qui intriguera assez les gens pour qu'ils cliquent et se demandent pourquoi on est dedans, et qu'ils découvrent ainsi la raison de la campagne.” Le réalisateur, Richard Curtis, a révélé aussi que dans le scénario original, “le couple ne s'embrassait pas à la fin avant de tomber dans les bras l'un de l'autre sur le divan, mais pour une certaine raison, Kit et Rose trouvaient que ça ferait un message très impactant, et ils l'ont fait avec beaucoup d'enthousiasme, prise après prise.”
→ →Sur leur participation au projet, Kit explique que “Je crois que Rose et moi aimions beaucoup l'idée de rejouer ensemble après toutes ces années, et de jouer ce couple bizarre, où vous ne comprenez pas trop ce qu'il se passe. Avec un peu de chances, on espère qu'on a prêté nos visages à quelque chose qui intriguera assez les gens pour qu'ils cliquent et se demandent pourquoi on est dedans, et qu'ils découvrent ainsi la raison de la campagne.” Le réalisateur, Richard Curtis, a révélé aussi que dans le scénario original, “le couple ne s'embrassait pas à la fin avant de tomber dans les bras l'un de l'autre sur le divan, mais pour une certaine raison, Kit et Rose trouvaient que ça ferait un message très impactant, et ils l'ont fait avec beaucoup d'enthousiasme, prise après prise.”
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→ → Après s'être essoufflées, les actus ont l'air de reprendre et de s'accélérer. Le 19 avril, Hannah Waddingham prenait part à une journée presse en vue de l'Eurovision qu'elle va prochainement présenter ; elle était très sexy dans une petite robe bleue marine. Le 20 avril, Indira Varma assistait au gala The Old Vic Tomorrow Gala au théâtre du même nom, très élégante dans une robe noire à dentelle, tandis que Milly Alcock se rendait au TAG Heuer Carrera 60th Anniversary Party ; coup de coeur pour la petite robe brillante et ses collants.
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→ → Encore un petit peu de promo pour God's Creatures : Aisling Franciosi a été photographiée avec sa co-star Emily Watson pour le New York Times. Dans cette édition, le magazine a rassemblé une quarantaine d'artistes féminines pour évoquer avec elles les femmes qui les inspirent.
→ →[Emily sur Aisling] “Je vois une qualité chez Aisling que j'ai retrouvé chez moi quand j'étais une jeune actrice : elle vous attire. Sur le tournage de God's Creatures, je me suis rendue compte que je la regardais beaucoup. C'est un vrai don de pouvoir silencieusement capter toute cette émotion et la laisser couler. Robert Altman a dit que faire des films est comme de bâtir un château de sable sur la plage, que vous allez vous asseoir sur une chaise pliante et que vous regarder la marée l'emporter. Vous pouvez vous sentir très en vie avec un projet. Mais pour chacun qui se termine, vous ne savez plus qui vous êtes. J'ai un réseau de jeunes acteurs dont j'aime prendre soin, parce que on peut se sentir très seul. Vous pouvez vous perdre dans quelque chose, et puis boom, fini, tout le monde est parti. J'ai eu des phases où je me sentais comme une dirigeante, puis cinq minutes plus tard, je joue une maman avec un bonnet. A un moment, avant que le paysage du petit écran ne change, je me demandais 'c'est fini pour moi ?' Mais quand j'ai eu 50 ans, au lieu d'être mise de côté, j'ai remarqué que les choses commençaient à devenir intéressantes. Les actrices deviennent tellement meilleures quand elles arrêtent d'essayer d'être sexy.”
→ →[Aisling sur Emily] “J'ai toujours vu la carrière d'Emily comme une route à suivre : c'est une actrice d'actrice, une artiste. Choisir en premier un film pour sa qualité n'est pas nécessairement ce qui vous donnera le plus de visibilité. Quand j'ai fait The Nightingale, je voulais prouver que je pouvis jouer autre chose qu'une adolescente. Je pense que c'est un film puissant, et je me rappelle que je pensais que je me fichais de ce que les gens en penseraient parce que j'en étais si fière. Mais je mentirais si je disais que ça a fait ce que certains pensaient que ça ferait pour ma carrière. C'est devenu une blague dans ma famille... la décennie, le nombre de fois où on m'a appelée 'l'étoile montante' ou 'l'actrice à suivre'. Cette industrie est surtout régie par les petit.e.s jeunes sexy. J'entre dans la trentaine, et objectivement, je ne suis plus la nouvelle jeune et sexy. Maintenant, mon ambition est de continuer à pouvoir vivre de mon métier d'actrice aussi longtemps que possible.”
→ →[Emily sur Aisling] “Je vois une qualité chez Aisling que j'ai retrouvé chez moi quand j'étais une jeune actrice : elle vous attire. Sur le tournage de God's Creatures, je me suis rendue compte que je la regardais beaucoup. C'est un vrai don de pouvoir silencieusement capter toute cette émotion et la laisser couler. Robert Altman a dit que faire des films est comme de bâtir un château de sable sur la plage, que vous allez vous asseoir sur une chaise pliante et que vous regarder la marée l'emporter. Vous pouvez vous sentir très en vie avec un projet. Mais pour chacun qui se termine, vous ne savez plus qui vous êtes. J'ai un réseau de jeunes acteurs dont j'aime prendre soin, parce que on peut se sentir très seul. Vous pouvez vous perdre dans quelque chose, et puis boom, fini, tout le monde est parti. J'ai eu des phases où je me sentais comme une dirigeante, puis cinq minutes plus tard, je joue une maman avec un bonnet. A un moment, avant que le paysage du petit écran ne change, je me demandais 'c'est fini pour moi ?' Mais quand j'ai eu 50 ans, au lieu d'être mise de côté, j'ai remarqué que les choses commençaient à devenir intéressantes. Les actrices deviennent tellement meilleures quand elles arrêtent d'essayer d'être sexy.”
→ →[Aisling sur Emily] “J'ai toujours vu la carrière d'Emily comme une route à suivre : c'est une actrice d'actrice, une artiste. Choisir en premier un film pour sa qualité n'est pas nécessairement ce qui vous donnera le plus de visibilité. Quand j'ai fait The Nightingale, je voulais prouver que je pouvis jouer autre chose qu'une adolescente. Je pense que c'est un film puissant, et je me rappelle que je pensais que je me fichais de ce que les gens en penseraient parce que j'en étais si fière. Mais je mentirais si je disais que ça a fait ce que certains pensaient que ça ferait pour ma carrière. C'est devenu une blague dans ma famille... la décennie, le nombre de fois où on m'a appelée 'l'étoile montante' ou 'l'actrice à suivre'. Cette industrie est surtout régie par les petit.e.s jeunes sexy. J'entre dans la trentaine, et objectivement, je ne suis plus la nouvelle jeune et sexy. Maintenant, mon ambition est de continuer à pouvoir vivre de mon métier d'actrice aussi longtemps que possible.”
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