→ → La sortie de sa nouvelle série The Staircase sur HBO Max a donné à Sophie Turner l'occasion de plusieurs petites apparitions publiques ! Pour commencer, le 3 mai elle assistait à une avant-première à New York, avec son mari et ses co-stars ; je suis mitigée sur l'aspect oversized de sa tenue, par contre j'adore les accessoires, surtout le collier ! Le 6 mai ensuite, elle était invitée chez Jimmy Fallon, avec qui elle a fait un petit jeu qu'elle et ses co-stars pratiquaient lors du tournage pour alléger l'ambiance ; je la trouve superbe en bleu ! Il y a aussi eu plusieurs interviews presse qui sont sortis, pour HBO, ainsi que pour Black Girl Nerds...
→ →[ELLE Australia] “Je pense que beaucoup de gens peuvent s'identifier au sentiment de loyauté aveugle envers leur famille ; vous pouvez les critiquer, mais gare à ceux qui en feraient de même. Le père adoptif de Margaret a toujours été son sauveur. Pour les petites filles, leur papa est leur héro, et c'est ce qu'était Michael pour Margaret. [...] C'est une vraie personne, vous pouvez faire des recherches à son sujet et l'étudier pour vous appropriez le rôle, mais il faut aussi trouver un équilibre : qu'injecter dans ce personnage, qu'ajouter qu'on ne trouvera pas en ligne ?”
→ →[The Wrap] “La maternité m'a rendue beaucoup plus émotive. Ca a fait de moi une meilleure actrice ; parce que, la seule façon d'être un bon acteur, et de vivre autant d'expériences que possible, et de pouvoir s'en servir dans votre jeu. C'est donc une partie de ma vie que je peux inclure, et qui, espérons le, aide ma performance d'une façon ou d'une autre.”
→ →[Variety] “Margaret était en contact avec Antonio, notre réalisateur/showrunner, et Maggie, et l'a été pendant un long moment. Mais respectueusement, ça aurait été catastrophique pour sa santé mentale de la garder discuter avec moi. Je pense qu'elle a eu le sentiment que ce n'était pas une décision nécessaire [de rencontrer les acteurs]. Je respecte ça, et je ne voulais pas la forcer.”
→ →[Bazaar Australia] “Je pense que la justice américaine est corrompue, mais ça n'a rien de nouveau. C'est pour ça que Michael n'est pas en prison en ce moment. C'est parce qu'un des témoins a été pris en plein mensonge. Et l'utilisation de l'orientation sexuelle de Michael contre lui en est un autre exemple. C'est couche sur couche de corruption, ce qui est très intéressant pour nous, parce qu'on raconte quelque chose d'inédit, une nouvelle vérité.”
→ →[ELLE Australia] “Je pense que beaucoup de gens peuvent s'identifier au sentiment de loyauté aveugle envers leur famille ; vous pouvez les critiquer, mais gare à ceux qui en feraient de même. Le père adoptif de Margaret a toujours été son sauveur. Pour les petites filles, leur papa est leur héro, et c'est ce qu'était Michael pour Margaret. [...] C'est une vraie personne, vous pouvez faire des recherches à son sujet et l'étudier pour vous appropriez le rôle, mais il faut aussi trouver un équilibre : qu'injecter dans ce personnage, qu'ajouter qu'on ne trouvera pas en ligne ?”
→ →[The Wrap] “La maternité m'a rendue beaucoup plus émotive. Ca a fait de moi une meilleure actrice ; parce que, la seule façon d'être un bon acteur, et de vivre autant d'expériences que possible, et de pouvoir s'en servir dans votre jeu. C'est donc une partie de ma vie que je peux inclure, et qui, espérons le, aide ma performance d'une façon ou d'une autre.”
→ →[Variety] “Margaret était en contact avec Antonio, notre réalisateur/showrunner, et Maggie, et l'a été pendant un long moment. Mais respectueusement, ça aurait été catastrophique pour sa santé mentale de la garder discuter avec moi. Je pense qu'elle a eu le sentiment que ce n'était pas une décision nécessaire [de rencontrer les acteurs]. Je respecte ça, et je ne voulais pas la forcer.”
→ →[Bazaar Australia] “Je pense que la justice américaine est corrompue, mais ça n'a rien de nouveau. C'est pour ça que Michael n'est pas en prison en ce moment. C'est parce qu'un des témoins a été pris en plein mensonge. Et l'utilisation de l'orientation sexuelle de Michael contre lui en est un autre exemple. C'est couche sur couche de corruption, ce qui est très intéressant pour nous, parce qu'on raconte quelque chose d'inédit, une nouvelle vérité.”
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→ → Nouvelle égérie ! Olivia Cooke a été annoncée pour représenter le joaillier Garrard, pour leur collection Blaze ; elle est leur toute première égérie ! Au sujet de leur partenariat, Olivia a déclaré que “La nouvelle collection Blaze de Garrard est audacieuse : les couleurs électriques ont une énergie et une vie qui leur sont propres, et j'ai adoré les explorer.”
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→ → La diffusion de The Saircase se poursuit sur HBO Max, et la série a récemment eu droit à un événement 'pour votre considération' organisé par IndieWire. Sophie Turner poursuit elle aussi la promotion avec un autre nouveau photoshoot, pour le magazine The Cut, où encore une fois l'actrice est radieuse avec son baby bump. Elle est interviewée pour l'occasion par son amie et ancienne co-star Jessica Chastain !
→ →[Sur Margaret, qu'elle incarne dans The Staircase] “L'immobilité de la famille pendant le procès était fascinante. Je me souviens avoir regardé le documentaire, et c'était une dynamique bizarre entre toutes les personnes de la famille. Voir que l'homme qu'ils mettaient tous sur un piédestal, la colle qui maintenait cet amalgame de personnes ensemble, était aussi la personne qui les séparait. Et Margaret elle-même lève lentement le voile et vit un arc incroyable tout au long de cette histoire. [...] Sa sœur et Michael sont vraiment les seules constantes qu'elle a eues dans sa vie. Elle a grandi avec une mère qui est décédée à la suite d'un soi-disant accident. Puis elle a été adoptée par Michael, est allée vivre avec lui et sa première femme, puis ils se sont séparés. Et donc il y a eu une autre sorte de gros traumatisme dans sa vie. Puis Michael épouse Kathleen Peterson. Et je pense qu'après son décès, Margaret s'est dit : 'Si je ne m'accroche pas à cet homme, qu'est-ce que j'ai ? Qui ai-je ?' La seule façon pour elle de tenir le coup est de lui rester aveuglément fidèle, par peur.”
→ →[Son rituel pour 'sortir' d'un personnage] “C'est vraiment bizarre. Je ne le fais pas, mais je trouve ça assez facile d'entrer et de sortir. Tu m'as vue dans X-Men, entre les prises, chanter et danser. C'est utile d'avoir des gens autour de soi qui sont également prêts à sortir de leur rôle. Et c'est juste quelque chose qui, en grandissant sur une série comme Game of Thrones, le sujet était si lourd que j'ai développé un mécanisme d'adaptation consistant à m'amuser entre les prises, pour ne pas être traumatisée. [...] Je suis sûr que je présenterai des symptômes de traumatisme un jour ou l'autre. À cet âge, je ne pense pas que je pouvais comprendre grand chose à ce genre de scène. Et les premières années, ma mère était avec moi parce qu'elle me chaperonnait, alors elle m'aidait beaucoup et me donnait un goûter. Je ne sais pas ce que c'est, mais je me sens à nouveau comme un enfant de 10 ans dans une pièce de théâtre scolaire lorsque quelqu'un que je connais vient me voir sur le plateau. Je me sens tellement gênée.”
→ →[Sur Margaret, qu'elle incarne dans The Staircase] “L'immobilité de la famille pendant le procès était fascinante. Je me souviens avoir regardé le documentaire, et c'était une dynamique bizarre entre toutes les personnes de la famille. Voir que l'homme qu'ils mettaient tous sur un piédestal, la colle qui maintenait cet amalgame de personnes ensemble, était aussi la personne qui les séparait. Et Margaret elle-même lève lentement le voile et vit un arc incroyable tout au long de cette histoire. [...] Sa sœur et Michael sont vraiment les seules constantes qu'elle a eues dans sa vie. Elle a grandi avec une mère qui est décédée à la suite d'un soi-disant accident. Puis elle a été adoptée par Michael, est allée vivre avec lui et sa première femme, puis ils se sont séparés. Et donc il y a eu une autre sorte de gros traumatisme dans sa vie. Puis Michael épouse Kathleen Peterson. Et je pense qu'après son décès, Margaret s'est dit : 'Si je ne m'accroche pas à cet homme, qu'est-ce que j'ai ? Qui ai-je ?' La seule façon pour elle de tenir le coup est de lui rester aveuglément fidèle, par peur.”
→ →[Son rituel pour 'sortir' d'un personnage] “C'est vraiment bizarre. Je ne le fais pas, mais je trouve ça assez facile d'entrer et de sortir. Tu m'as vue dans X-Men, entre les prises, chanter et danser. C'est utile d'avoir des gens autour de soi qui sont également prêts à sortir de leur rôle. Et c'est juste quelque chose qui, en grandissant sur une série comme Game of Thrones, le sujet était si lourd que j'ai développé un mécanisme d'adaptation consistant à m'amuser entre les prises, pour ne pas être traumatisée. [...] Je suis sûr que je présenterai des symptômes de traumatisme un jour ou l'autre. À cet âge, je ne pense pas que je pouvais comprendre grand chose à ce genre de scène. Et les premières années, ma mère était avec moi parce qu'elle me chaperonnait, alors elle m'aidait beaucoup et me donnait un goûter. Je ne sais pas ce que c'est, mais je me sens à nouveau comme un enfant de 10 ans dans une pièce de théâtre scolaire lorsque quelqu'un que je connais vient me voir sur le plateau. Je me sens tellement gênée.”
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→ → Un dernier photoshoot pour joliment terminer cet article actualités... pour Rose Leslie également, deuxième session dans le cadre de la promotion de sa nouvelle série qui passe aussi sur HBO, The Time Traveler's Wife. C'est Instyle Australia qui a photographié et interviewé l'actrice pour leur dernier numéro...
→ →[Sa préparation au rôle de Claire] “[Elle a lu le livre mais a choisi de ne pas regarder le film]. C'est quelque chose que j'ai délibérément choisi parce que je ne voulais pas me submerger de variantes de Clare. Je sentais que tout ce que je recevais de l'adaptation de Steven Moffatt était suffisant pour me donner l'impression d'avoir un gros os juteux à ronger. [...] Je veux dire, c'est un contexte extraordinaire. Quelque chose de très bizarre lui est arrivé, je suppose. Comment vous préparez-vous à jouer ce rôle ? J'ai simplement décidé d'embrasser le caractère chaotique de ce qu'elle traverse et d'essayer de le représenter du mieux que je peux, sans me sentir sous-préparée. [Jouer Claire à l'âge de 70 ans était difficile]. Nous n'allons jamais jouer que l'âge que nous semblons avoir. On ne va jamais mettre une prothèse et jouer une personne de 80 ans. [Cependant, si l'on avance d'une dizaine d'années], je me retrouve dans une position très délicate, où je me dis : "Putain ! Comment je joue ça sans insulter nos grands-mères en les faisant avoir l'air faibles ?' ... J'ai dû le regarder avec un œil ouvert.”
→ →[Ses propos sur les addictions de son mari qui ont énormément circulé] “Une chose que j'ai apprise ces dernières années en ce qui concerne les addictions, c'est qu'il ne faut pas en faire un tabou. Ce qui fonctionne pour nous, c'est de reconnaître ouvertement que c'est le cas et de comprendre - et je me répète ici - le dur travail qui nous attend. C'est à lui qu'il incombe de rester sobre. Et je m'efforcerai de toujours le soutenir dans sa sobriété, mais en reconnaissant que c'est à lui de le faire, pas à moi. Je veux être prudente à l'avenir parce que j'ai l'impression que je n'ai plus rien à dire en ce qui nous concerne et la dépendance dans nos vies. Vous savez, si vous n'êtes pas un alcoolique, qu'est-ce que vous en savez ? Je ne veux jamais être perçue comme ça. Parce que c'est quelque chose que je ne peux pas comprendre. C'est juste quelque chose avec lequel je vis, avec mon mari. La communication est la clé. Je pense qu'à l'heure actuelle, là où nous nous sentons le plus heureux et à l'aise l'un avec l'autre, c'est en communiquant et en exprimant nos préoccupations, si nous avons l'impression que l'autre ne participe pas nécessairement aux tâches parentales ou ménagères, ou quoi que ce soit d'autre.”
→ →[Sa préparation au rôle de Claire] “[Elle a lu le livre mais a choisi de ne pas regarder le film]. C'est quelque chose que j'ai délibérément choisi parce que je ne voulais pas me submerger de variantes de Clare. Je sentais que tout ce que je recevais de l'adaptation de Steven Moffatt était suffisant pour me donner l'impression d'avoir un gros os juteux à ronger. [...] Je veux dire, c'est un contexte extraordinaire. Quelque chose de très bizarre lui est arrivé, je suppose. Comment vous préparez-vous à jouer ce rôle ? J'ai simplement décidé d'embrasser le caractère chaotique de ce qu'elle traverse et d'essayer de le représenter du mieux que je peux, sans me sentir sous-préparée. [Jouer Claire à l'âge de 70 ans était difficile]. Nous n'allons jamais jouer que l'âge que nous semblons avoir. On ne va jamais mettre une prothèse et jouer une personne de 80 ans. [Cependant, si l'on avance d'une dizaine d'années], je me retrouve dans une position très délicate, où je me dis : "Putain ! Comment je joue ça sans insulter nos grands-mères en les faisant avoir l'air faibles ?' ... J'ai dû le regarder avec un œil ouvert.”
→ →[Ses propos sur les addictions de son mari qui ont énormément circulé] “Une chose que j'ai apprise ces dernières années en ce qui concerne les addictions, c'est qu'il ne faut pas en faire un tabou. Ce qui fonctionne pour nous, c'est de reconnaître ouvertement que c'est le cas et de comprendre - et je me répète ici - le dur travail qui nous attend. C'est à lui qu'il incombe de rester sobre. Et je m'efforcerai de toujours le soutenir dans sa sobriété, mais en reconnaissant que c'est à lui de le faire, pas à moi. Je veux être prudente à l'avenir parce que j'ai l'impression que je n'ai plus rien à dire en ce qui nous concerne et la dépendance dans nos vies. Vous savez, si vous n'êtes pas un alcoolique, qu'est-ce que vous en savez ? Je ne veux jamais être perçue comme ça. Parce que c'est quelque chose que je ne peux pas comprendre. C'est juste quelque chose avec lequel je vis, avec mon mari. La communication est la clé. Je pense qu'à l'heure actuelle, là où nous nous sentons le plus heureux et à l'aise l'un avec l'autre, c'est en communiquant et en exprimant nos préoccupations, si nous avons l'impression que l'autre ne participe pas nécessairement aux tâches parentales ou ménagères, ou quoi que ce soit d'autre.”
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→ → Ca a l'air d'être la saison des photoshoots ! Jessica Henwick commence à son tour la promotion d'un de ses nouveaux projets, le film d'action The Gray Man, qui sort le jour de mon anniversaire sur Netflix. Un premier interview et photoshoot est sorti, pour Vogue Singapour ! Les photos sont assez classiques, mais très réussies.
→ →[Apparaître dans autant de franchises et films à succès] “C'est involontaire. Je n'essaie pas de faire toutes les franchises. Quand les gens me demandent 'pourquoi tu joues dans autant de trucs de geeks ou de genre ?' Je réponds : 'Quels sont les rôles qu'on m'envoie ?' Il semble qu'il y ait beaucoup plus de volonté de voir des Asiatiques dans des situations fantastiques. Si je lis un scénario et qu'il se déroule dans un bureau ou une cité HLM, il est très rare que l'on s'intéresse à un Asiatique. C'est comme si je devais me battre pour être acceptée. J'en ai un peu assez des histoires que la société nous raconte, alors je veux écrire une nouvelle histoire. Et je veux faire partie du changement. Je ne prends pas vraiment non comme réponse.”
→ →[Sur The Gray Man] “C'est un brillant hommage aux films d'espionnage. Nous allons parcourir le monde et le casting est très international. Vous ne devinerez pas ce qui va se passer. C'est plein de rebondissements. Et c'est ce qui m'a vraiment séduit. Je dirais qu'il est très actuel et moderne. Beaucoup de films d'espionnage semblent d'une autre époque, mais ce n'est pas le cas de celui-ci.”
→ →[Apparaître dans autant de franchises et films à succès] “C'est involontaire. Je n'essaie pas de faire toutes les franchises. Quand les gens me demandent 'pourquoi tu joues dans autant de trucs de geeks ou de genre ?' Je réponds : 'Quels sont les rôles qu'on m'envoie ?' Il semble qu'il y ait beaucoup plus de volonté de voir des Asiatiques dans des situations fantastiques. Si je lis un scénario et qu'il se déroule dans un bureau ou une cité HLM, il est très rare que l'on s'intéresse à un Asiatique. C'est comme si je devais me battre pour être acceptée. J'en ai un peu assez des histoires que la société nous raconte, alors je veux écrire une nouvelle histoire. Et je veux faire partie du changement. Je ne prends pas vraiment non comme réponse.”
→ →[Sur The Gray Man] “C'est un brillant hommage aux films d'espionnage. Nous allons parcourir le monde et le casting est très international. Vous ne devinerez pas ce qui va se passer. C'est plein de rebondissements. Et c'est ce qui m'a vraiment séduit. Je dirais qu'il est très actuel et moderne. Beaucoup de films d'espionnage semblent d'une autre époque, mais ce n'est pas le cas de celui-ci.”
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→ → En moins de 24 heures, Kit Harington et Rose Leslie ont assisté à deux événements... sur deux continents différents ! Ils étaient d'abord le 11 mai à l'avant-première de The Time Traveler's Wife à New York, la nouvelle série de Rose, où ils ont aussi retrouvé le réalisateur David Nutter, qui dirige ici aussi quelques épisodes ! Et le 12 mai, ils étaient à Londres pour le SMS Battles Quiz pour la MS Society dont ils sont ambassadeurs depuis quelques années. Votre sortie préférée du couple ?
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→ → D'autres news... Le 12 mai, Alfie Allen était à un événement en l'honneur des nominés aux Tony, tandis que Gwendoline Christie assistait à la remise de diplôme de l'université des arts de San Francisco, avec un défilé. Un nouvel interview d'Iwan Rheon pour sa nouvelle série est sorti ; des photos de Pedro Pascal à LA à l'occasion de l'enregistrement d'un podcast avec Sam Fragoso ont été publiées. Enfin, le 13 mai Nell Tiger Free assistait à un panel 'pour votre considération' pour Servant.
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