→ → Encore de nombreux portraits... Aisling Franciosi a été photographiée pour divers magazines, et plusieurs nouveaux interviews sont sortis ces derniers jours. En voici quelques extraits :
→ →WWD “A un moment je me suis dit, 'Oh mon dieu, j'adorerais jouer dans quelque chose de léger.' C'est marrant, c'est une blague entre ma mère et moi : j'obtiens toujours des rôles ou me fait proposer des rôles qui sont soit très vulnérables, soit très émotionnels, soit très sombres...”
→ →Roger Elber “L'histoire de Clare et Billy est imaginaire, mais elle est basée sur un contexte historique réel. C'est difficile de nos jours de voir des représentations de violence qui sont arrivées à tellement de femmes, et se produisent encore partout dans le monde. Des bébés sont tués, et en plus de ça, on voit des violences raciales. Quand on filmait les scènes de viol dans The Nightingale, il y avait une ambiance très sombre sur le plateau. Je pense totalement qu'il y a un temps pour de l'humour pour alléger les tragédies et moments difficiles, mais puisque j'avais rencontré de vraies victimes, et des personnes qui travaillent avec elles, je n'arrivais pas à chasser cette réalité de ma tête.”
→ →WWD “A un moment je me suis dit, 'Oh mon dieu, j'adorerais jouer dans quelque chose de léger.' C'est marrant, c'est une blague entre ma mère et moi : j'obtiens toujours des rôles ou me fait proposer des rôles qui sont soit très vulnérables, soit très émotionnels, soit très sombres...”
→ →Roger Elber “L'histoire de Clare et Billy est imaginaire, mais elle est basée sur un contexte historique réel. C'est difficile de nos jours de voir des représentations de violence qui sont arrivées à tellement de femmes, et se produisent encore partout dans le monde. Des bébés sont tués, et en plus de ça, on voit des violences raciales. Quand on filmait les scènes de viol dans The Nightingale, il y avait une ambiance très sombre sur le plateau. Je pense totalement qu'il y a un temps pour de l'humour pour alléger les tragédies et moments difficiles, mais puisque j'avais rencontré de vraies victimes, et des personnes qui travaillent avec elles, je n'arrivais pas à chasser cette réalité de ma tête.”
→ →Refinery29 “Très tôt, on s'est demandé si ce ne serait pas intéressant que Sam [Clafin] et moi ne passions pas trop de temps ensemble à cause des personnages qu'on joue. Mais quand on a commencé à travailler sur la scène, on a réalisé que non, il fallait que je connaisse Sam aussi bien que possible. On devait faire des choses qui nécessitaient qu'on soit tous les deux très vulnérables. On est devenus très proches. Quand vous créez un environnement dans lequel vos acteurs se sentent en sécurité, qui leur permet d'être aussi authentiques et vulnérables que possible.. On avait une équipe géniale. Jen [Jennifer Kent] étant Jen, une réalisatrice tellement attentionnée, s'est assurée qu'un psychiatre soit avec nous. Mais ces jours étaient très pénibles mentalement. On avait même des hommes adultes en larmes sur le plateau.”
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→ → Après plusieurs projections et Q&A fin juillet, le week-end de la sortie du film, Aisling a assisté à une nouvelle présentation suivie d'une séance de questions réponses le 3 août avec la réalisatrice Jennifer Kent et son co-star Baykali Ganambarr au ArcLight Cinemas Hollywood à Los Angeles ; Guillermo del Toro dirigeait la session. Et le 7 août, Aisling était à New York, à l'occasion des interviews Build Series. “Après les deux premières pages je me suis dit, 'oh...c'est différent...c'est spécial” a-t-elle dit de sa première lecture du scénario. Elle a aussi expliqué s'être reposée sur ses co-stars pour un peu de soutien moral pendant le tournage très éprouvant du film : “Je ne vais pas mentir, j'étais en larmes entre les prises. Je n'avais pas réalisé combien ce serait dur pour moi de contrôler mes émotions.”
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→ → Le mois d'août se lance tranquillement... Le 6 août, Gayle Rankin était à l'avant-première de la saison 3 de sa série GLOW. Le 8 août, Aisling Franciosi s'est rendue à la soirée d'ouverture de Sea Wall/A Life à Broadway. Le lendemain, Nathalie Emmanuel assistait au gala de l'Unicef.
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→ → Nouvelle couverture pour Aisling, qui est l'une des célébrités en première page de l'édition automne 2019 du magazine Dazed & Confused ! Le photoshoot est sympa, mais ne me plaît pas autant que celui pour Town & Country. Découvrez des extraits de l'interview :
→ →[La réalisatrice Jennifer Kent à propos d'Aisling] “J'ai immédiatement été touchée par la performance d'Aisling. Elle est irlandaise, elle parle gaélique, et elle chante magnifiquement bien : il n'y avait aucune hésitation pour moi. Quand vous écrivez un rôle, vous espérez trouver quelqu'un pour incarner ce personnage. Aisling était tellement évidente pour Clare : une actrice brillante, une personne chaleureuse et douce. Clare avait besoin de ces qualités.”
→ →[A propos des recherches et rencontres qu'Aisling a fait avec des victimes de violences sexuelles et sur le traumatisme de son personnage] “C'était difficile. Ces femmes étaient tellement généreuses, de me raconter leurs histoires, j'avais un sentiment de responsabilité envers elles, de vouloir les honorer. [...] Un argument que je déteste vraiment est quand les gens disent du film, 'J'ai horreur de cette trope, où le viol est ce qui permets à une femme de trouver sa force'. C'est tellement réducteur. Ce n'est pas ce qui la fait trouver sa force : elle est déjà forte. La résilience est une force. Ce n'est pas une forme sexy ou glorieuse de force. C'est précieux. Continuer, ne jamais abandonner. C'est une qualité que les femmes ont en abondance. Plus de la moitié des femmes envoyées dans ces colonies étaient victimes d'abus sexuels. Dans ce film, Clare souffre de stress post-traumatique depuis très longtemps. Son état d'esprit est, 'Je vais me faire aussi petite que possible, traverser ça et ça ira.' Ce n'est pas juste un moyen de se défendre. Elle protège sa famille, ses rêves, son futur.”
→ →[La réalisatrice Jennifer Kent à propos d'Aisling] “J'ai immédiatement été touchée par la performance d'Aisling. Elle est irlandaise, elle parle gaélique, et elle chante magnifiquement bien : il n'y avait aucune hésitation pour moi. Quand vous écrivez un rôle, vous espérez trouver quelqu'un pour incarner ce personnage. Aisling était tellement évidente pour Clare : une actrice brillante, une personne chaleureuse et douce. Clare avait besoin de ces qualités.”
→ →[A propos des recherches et rencontres qu'Aisling a fait avec des victimes de violences sexuelles et sur le traumatisme de son personnage] “C'était difficile. Ces femmes étaient tellement généreuses, de me raconter leurs histoires, j'avais un sentiment de responsabilité envers elles, de vouloir les honorer. [...] Un argument que je déteste vraiment est quand les gens disent du film, 'J'ai horreur de cette trope, où le viol est ce qui permets à une femme de trouver sa force'. C'est tellement réducteur. Ce n'est pas ce qui la fait trouver sa force : elle est déjà forte. La résilience est une force. Ce n'est pas une forme sexy ou glorieuse de force. C'est précieux. Continuer, ne jamais abandonner. C'est une qualité que les femmes ont en abondance. Plus de la moitié des femmes envoyées dans ces colonies étaient victimes d'abus sexuels. Dans ce film, Clare souffre de stress post-traumatique depuis très longtemps. Son état d'esprit est, 'Je vais me faire aussi petite que possible, traverser ça et ça ira.' Ce n'est pas juste un moyen de se défendre. Elle protège sa famille, ses rêves, son futur.”
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→ → Le 12 août, Carice Van Houten s'est rendue à la présentation de son nouveau film Instinct à l'occasion du Festival du film de Locarno en Suisse, en compagnie de la réalisatrice Halina Reijn et du producteur Frans van Gestel. Elle a assisté au photocall, toute de blanc vêtue, puis à une avant-première, cette fois portant une longue robe bleue. Puis le jour de la remise des prix le 17 août, Instinct est reparti avec le Variety Piazza Grande Award ! Le film vient également d'être annoncé parmi la sélection du prochain TIFF.
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