→ → La saison des récompenses touche désormais à sa fin pour The Sound of Metal et Olivia Cooke. La belle a désormais débuté une nouvelle aventure avec le tournage de House of the Dragon qui a démarré en Grande-Bretagne ; pour compenser la période d'inactivité en termes d'actus qui va suivre, on a ce dernier photoshoot de Liv pour Soho House. Hyper glamour j'adore !
→ →[Est-ce dur de laisser un personnage derrière ?] “Parfois, vous avez une petite gueule de bois émotionnelle, mais vous restez à l'écart des rôles les plus méchants. Dans les films plus légers, on se dit : "Oh mon Dieu, je me suis tellement amusé dans ce rôle, je me demande pourquoi", et on essaie d'y accéder davantage : le côté frivole et espiègle. J'ai joué dans un film intitulé Pixie, une comédie irlandaise sur les gangsters. Le rôle était très amusant. Elle est manipulatrice et sombrement comique. C'était génial d'imiter cela, parce que tout ce que vous faites, c'est monter et descendre ces cadrans sur vous-même pour faire ces performances.”
→ →[Est-ce dur de laisser un personnage derrière ?] “Parfois, vous avez une petite gueule de bois émotionnelle, mais vous restez à l'écart des rôles les plus méchants. Dans les films plus légers, on se dit : "Oh mon Dieu, je me suis tellement amusé dans ce rôle, je me demande pourquoi", et on essaie d'y accéder davantage : le côté frivole et espiègle. J'ai joué dans un film intitulé Pixie, une comédie irlandaise sur les gangsters. Le rôle était très amusant. Elle est manipulatrice et sombrement comique. C'était génial d'imiter cela, parce que tout ce que vous faites, c'est monter et descendre ces cadrans sur vous-même pour faire ces performances.”
→ →[L'acteur.trice le.la plus drôle avec qui elle ait travaillé] “Dylan Moran. Je n'ai travaillé avec lui qu'une journée et il était hilarant : il changeait toutes ses répliques et improvisait les siennes. C'était diaboliquement drôle. Il était aussi très sec. Et Claudia Jessie - j'ai joué dans Vanity Fair avec elle. Elle faisait du stand-up et elle est terriblement drôle. Je pense que tous les acteurs sont très drôles, ceux qui ne se prennent pas trop au sérieux.”
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→ → Et encore un bébé GOT ! Et celui-ci nous a totalement pris par surprise ! Natalie Dormer a en effet annoncé au cours d'un podcast le 27 avril comment elle avait occupé son confinement... avec son compagnon David Oakes, rencontré en 2017 pendant la production de la pièce Venus in Fur, ils ont en effet décidé d'avoir un bébé, car, “Qu'est-ce qu'on pouvait faire d'autre ?” plaisante-t-elle. “Donc oui, c'était un truc parfait à faire pendant une pandémie, tomber enceinte et avoir un bébé. J'ai l'impression d'être un cliché.” Natalie pense que sa fille (oui c'est une fille !) sera sûrement “assise dans un bar d'ici 30 ans pendant un rendez-vous galant en disant 'Ouais, je suis un bébé covid.'”
→ →Natalie a expliqué qu'elle a accouché en janvier, donc il y a déjà un moment ! Bien sûr, s'occuper d'un nouveau-né n'est pas de tout repos : “Je ne me plaindrais plus jamais des heures de tournage, parce que manquer de sommeil, c'est autre chose. J'ai totalement sous-estimé ça.” Elle confie également que devenir mère a changé beaucoup de choses pour elle, “Vous entendez les gens dire que votre façon de voir la vie change, vos valeurs changent, et quand vous avez pas d'enfant vous levez les yeux au ciel, genre 'Oui oui bien sûr...', et quand vous en avez un, vous êtes genre, 'Wow !'”
→ →Natalie n'a pas révélé le prénom de la petite, mais a dit qu'elle était “totalement amoureuse d'elle.” Tellement, que ce sera “très difficile” de retourner travailler... Une raison pour laquelle elle préférera le théâtre, car elle pourra passer la journée avec sa fille et travailler la nuit. “Je suis genre, c'est parfait !” Je suis quand même impressionnée que depuis presque un an la grossesse, puis l'accouchement de Natalie, soit restée un super secret. En tout cas, félicitations aux jeunes parents !
→ →Natalie a expliqué qu'elle a accouché en janvier, donc il y a déjà un moment ! Bien sûr, s'occuper d'un nouveau-né n'est pas de tout repos : “Je ne me plaindrais plus jamais des heures de tournage, parce que manquer de sommeil, c'est autre chose. J'ai totalement sous-estimé ça.” Elle confie également que devenir mère a changé beaucoup de choses pour elle, “Vous entendez les gens dire que votre façon de voir la vie change, vos valeurs changent, et quand vous avez pas d'enfant vous levez les yeux au ciel, genre 'Oui oui bien sûr...', et quand vous en avez un, vous êtes genre, 'Wow !'”
→ →Natalie n'a pas révélé le prénom de la petite, mais a dit qu'elle était “totalement amoureuse d'elle.” Tellement, que ce sera “très difficile” de retourner travailler... Une raison pour laquelle elle préférera le théâtre, car elle pourra passer la journée avec sa fille et travailler la nuit. “Je suis genre, c'est parfait !” Je suis quand même impressionnée que depuis presque un an la grossesse, puis l'accouchement de Natalie, soit restée un super secret. En tout cas, félicitations aux jeunes parents !
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→ → Des tapis rouges commencent à reprendre au compte goutte. Le 6 mai, Nathalie Emmanuel faisait à distance la press junket de Fast & Furious. Le 11 mai, Maisie Williams remettait un prix aux Brit Awards. Le 21 mai, Emilia Clarke assistait à la projection de Rare Beasts.
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→ → Peu de présentiel semble au programme pour la promotion de Fast & Furious 9, alors comme souvent depuis l'année dernière, on se rabat sur les photoshoots. Nathalie Emmanuel est donc l'une des personnalités en couverture de l'édition Community Issue de Hunger Magazine. Ambiance très moderne au programme de cette session photos en noir et blanc.
→ →[Prendre soin de sa santé mentale] “On va sentir les conséquences de cette pandémie pendant encore des années. Mais l'un des gros problèmes qu'on va avoir c'est la détérioration de la santé mentale des gens. C'est vraiment une priorité d'essayer de viser ces choses, et de demander de l'aide quand on peut en avoir, et ne pas avoir peur d'en demander. C'est très important pour moi de ne pas avoir honte d'admettre qu'on a des difficultés avec sa santé mentale. C'est mon cas, et j'ai dû admettre tout ça. J'encourage les autres à en faire de même s'ils le peuvent. On est tous très bons pour prétendre que tout va bien. Mais maintenant, je suis meilleure pour exprimer que je ne vais pas bien.”
→ →[Le racisme dans l'industrie] “Il y a cette vieille trope de noirceur acceptable, qui fait que souvent, des personnes métisses sont placées au centre d'une histoire, alors qu'en réalité ça aurait dû être une personne noire pour jouer ce rôle. C'est une chose dont j'ai essayé d'être très consciente quand je choisi un boulot. J'ai lu des scénarios où il était très clair que le personnage était supposé être une femme noire, et même je suis reconnaissante de l'opportunité, c'est ma responsabilité de dire, à cause de ce privilège que j'ai, de dire 'En fait, cette opportunité n'est pas pour moi.' Dans cette industrie, je comprend qu'en tant que métisse noire, chaque place que j'obtiens dans un monde dominé par le mâle blanc cis et hétéro est importante, mais il y a aussi d'autres personnes qui méritent, et devraient avoir leur place avec moi, et parfois au lieu de moi.”
→ →[Prendre soin de sa santé mentale] “On va sentir les conséquences de cette pandémie pendant encore des années. Mais l'un des gros problèmes qu'on va avoir c'est la détérioration de la santé mentale des gens. C'est vraiment une priorité d'essayer de viser ces choses, et de demander de l'aide quand on peut en avoir, et ne pas avoir peur d'en demander. C'est très important pour moi de ne pas avoir honte d'admettre qu'on a des difficultés avec sa santé mentale. C'est mon cas, et j'ai dû admettre tout ça. J'encourage les autres à en faire de même s'ils le peuvent. On est tous très bons pour prétendre que tout va bien. Mais maintenant, je suis meilleure pour exprimer que je ne vais pas bien.”
→ →[Le racisme dans l'industrie] “Il y a cette vieille trope de noirceur acceptable, qui fait que souvent, des personnes métisses sont placées au centre d'une histoire, alors qu'en réalité ça aurait dû être une personne noire pour jouer ce rôle. C'est une chose dont j'ai essayé d'être très consciente quand je choisi un boulot. J'ai lu des scénarios où il était très clair que le personnage était supposé être une femme noire, et même je suis reconnaissante de l'opportunité, c'est ma responsabilité de dire, à cause de ce privilège que j'ai, de dire 'En fait, cette opportunité n'est pas pour moi.' Dans cette industrie, je comprend qu'en tant que métisse noire, chaque place que j'obtiens dans un monde dominé par le mâle blanc cis et hétéro est importante, mais il y a aussi d'autres personnes qui méritent, et devraient avoir leur place avec moi, et parfois au lieu de moi.”
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→ → La campagne des Emmy Awards commence, avec certains de nos acteurs dans diverses listes de prédictions des futurs nominés - Tobias Menzies pour The Crown, Michiel Huisman pour The Flight Attendant... l'un d'eux est Pedro Pascal, suite à la saison la plus récente de The Mandalorian. Il fait donc partie d'une des sessions Actors on Actors de Variety, avec une autre star de Star Wars, Ewan McGregor, pour son rôle récent dans Halston.
→ →[Sa relation avec Star Wars avant The Mandalorian] “Je suis né en '75, et mes parents ont fui le Chili pour les Etats-Unis quand j'étais un bébé. On absorbait beaucoup de cinéma. Mon père, un médecin qui adore aller au cinéma, nous y emmenait tout le temps. Et donc, tous les trucs de Spielberg et George Lucas avaient une grande importance dans mon enfance : Star Wars, Indiana Jones, E.T. ... Quand j'ai rencontré [les créateurs de The Mandalorian] et que j'ai pénétré dans la salle d'écriture, dont les murs étaient recouverts d'illustrations de la première saison, c'était irréel de voir une imagerie si familière, et de réaliser que ça venait de son imagination. Ils savent l'impact que ça a eu sur chacun de nous, et ils trouvent un moyen - ou de nouveaux moyens, en fait - d'évoquer ça, de créer visuellement les choses qu'on voit quand on ferme les yeux et pense à cet univers. Ce qui est incroyable.”
→ →[Garder le secret sur Bébé Yoda] “C'est sûrement le premier secret que j'ai dû garder. Ne me dites rien de personnel ! Mais il y a tant de sérieux autour des informations qui fuient, que je trouve que c'est un peu trop. Je dis tout à ma famille, et je n'ai rien dit sur Grogu. Je ne savais même pas ce qu'était son nom jusqu'à la seconde saison, mais je savais que ça aurait un sacré impact. Quand j'ai vu l'image de ce truc, et que j'ai commencé à lire les scripts, je ne voulais pas compromettre tout ça. C'était facile de ne pas en parler, parce que je voulais que ça fonctionne.”
→ →[Sa relation avec Star Wars avant The Mandalorian] “Je suis né en '75, et mes parents ont fui le Chili pour les Etats-Unis quand j'étais un bébé. On absorbait beaucoup de cinéma. Mon père, un médecin qui adore aller au cinéma, nous y emmenait tout le temps. Et donc, tous les trucs de Spielberg et George Lucas avaient une grande importance dans mon enfance : Star Wars, Indiana Jones, E.T. ... Quand j'ai rencontré [les créateurs de The Mandalorian] et que j'ai pénétré dans la salle d'écriture, dont les murs étaient recouverts d'illustrations de la première saison, c'était irréel de voir une imagerie si familière, et de réaliser que ça venait de son imagination. Ils savent l'impact que ça a eu sur chacun de nous, et ils trouvent un moyen - ou de nouveaux moyens, en fait - d'évoquer ça, de créer visuellement les choses qu'on voit quand on ferme les yeux et pense à cet univers. Ce qui est incroyable.”
→ →[Garder le secret sur Bébé Yoda] “C'est sûrement le premier secret que j'ai dû garder. Ne me dites rien de personnel ! Mais il y a tant de sérieux autour des informations qui fuient, que je trouve que c'est un peu trop. Je dis tout à ma famille, et je n'ai rien dit sur Grogu. Je ne savais même pas ce qu'était son nom jusqu'à la seconde saison, mais je savais que ça aurait un sacré impact. Quand j'ai vu l'image de ce truc, et que j'ai commencé à lire les scripts, je ne voulais pas compromettre tout ça. C'était facile de ne pas en parler, parce que je voulais que ça fonctionne.”
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→ → Les premiers jours de juin sont bien remplis. Le 6 juin, Tobias Menzies était aux BAFTA TV, étant une nouvelle fois nominé pour son rôle dans The Crown. Le 9 juin, Kit Harington assistait à l'ouverture du festival de Tribeca. Le 10 juin, Jason Momoa était invité à distance sur le plateau de Jimmy Fallon.
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→ → D'autres actus plus ou moins consistantes ont eu lieu. Du 10 au 12 juin, Nathalie Emmanuel a enchaîné les interviews pour Fast & Furious et partagé ses différents looks sur ses réseaux sociaux. Le 12 juin, Maisie Williams était à la fashion week de Londres pour le lancement de la nouvelle collection de son compagnon Reuben Selby. Et le 17 juin, Dean Charles Chapman était au Royal Ascot.
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